A la base c’était un simple jeu vidéo sorti dans les années 1980 dans les salles d’arcade puis adapté ensuite sur consoles. Le jeu se résume à des monstres combattant au beau milieu d’une ville, un scénario suffisamment élaboré pour justifier une adaptation cinématographique du coté d’Hollywood.
Auteur/autrice : cine2909
Spider-Man : New Generation
On retrouve le désormais familier Peter Parker même si c’est sa version alternative Miles Morales crée en 2011 dans Ultimate Spider-Man qui est la véritable vedette ici. On est aussi bien conquis par le graphisme que par le dynamisme qui s’en dégage avec l’apparition de ces onomatopées rappelant les comic books d’origine.
Venom
Ce Venom ne va pas arranger les choses, on est bien loin de retrouver le sanguinaire nemesis du tisseur du comic book. Si l’apparence du symbiote prête déjà à débat, on a aussi du mal à supporter le rapport qu’il entretient avec Tom Hardy au point qu’on a l’impression d’assister à un spectacle de Jeff Panacloc avec Jean-Marc…
Le retour de Mary Poppins
Si le film de notre pote Rob Marshall n’est pas un remake, on pourrait le croire tant il est semblable à l’original au niveau de sa construction. Évidemment, il ne fallait pas que cela se voit trop ; on a donc remplacé le ramoneur par un allumeur de réverbères ou encore le célèbre Supercalifragilisticexpialidocious par le Luminomagifantastique et le tour est joué !
Whitney
Ce documentaire dirigé par Kevin Macdonald suit un déroulement classique en mettant d’abord en avant le fabuleux destin d’une jeune fille née dans les quartiers pauvres de Newark qui allait conquérir le monde. La seconde partie vient briser ce conte de fées en dévoilant sans fards les travers et meurtrissures de l’artiste ou encore l’influence néfaste qu’aura eu son entourage parfois même très proche.
Aquaman
Même s’il permet au spectateur de voyager, le scénario n’en reste pas moins très basique ponctué ici et là de quelques notes d’humour qui tombent souvent à l’eau et donc dispensables. Mieux vaut aussi apprécier les effets spéciaux car vous allez vous y noyer jusqu’à cette bataille finale qui devient vite illisible.
Mia et le lion blanc
La surprise ne fut que plus agréable de découvrir une histoire bien plus intéressante qu’il n’y paraissait d’autant que la relation entre Mia et Charlie est on ne peut plus authentique. Il faut en effet savoir que le tournage s’est étalé sur 3 ans et sur ce même laps de temps la jeune actrice Daniah De Villiers aura grandi aux côtés de ce lion.
Les enfants loups, Ame & Yuki
Non content de nous offrir un retour à la nature et vous redonner l’envie de cultiver des légumes ; c’est aussi et surtout un portrait de famille drôle et tendre. Difficile de ne pas tomber sous le charme de cette malicieuse Yuki et puis surtout on est les témoins d’une formidable évolution croisée des personnages les rendant d’autant plus attachants.
Le garçon et la bête
Le garçon et la bête nous emporte d’abord dans le monde des bêtes, l’occasion pour le spectateur de s’émerveiller devant l’univers de Jutengai. L’histoire est passionnante nourrie par des graphismes et une animation magnifiques, des héros attachants sans oublier une bonne dose d’humour ; tout est réuni pour qu’on se laisse séduire.
Miraï, ma petite sœur
A l’image de cette maison à l’architecture atypique, on peut parfois se sentir déstabilisé face à ces scènes qui nous font voyager à travers le temps et l’espace comme celle se déroulant à la gare.