C’est l’apothéose du Marvel Cinematic Universe. Depuis 2008 et l’apparition d’Iron Man, une saga gigantesque se dessinait et la voilà qu’elle se dévoile avec un Avengers : Infinity War qui entre dans l’histoire du cinéma. Un fantasme se réalise quand on voit cette réunion de dizaines de héros au coeurs de scènes d’action qui vous scotchent à l’écran.
Catégorie : Science-Fiction
Les films de Science-Fiction au cinéma
Avengers : Endgame
C’est peu dire qu’il était attendu, c’est un chapitre de l’histoire du Marvel Cinematic Universe qui se ferme (ou presque). Après Avengers : Infinity War, la grande question était comment nos héros allaient se relever et on peut dire que le choix scénaristique use d’une ficelle aussi énorme que Giant Man !
Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux
La phase IV du Marvel Cinematic Universe continue son développement et apporte un brin de fraîcheur (et de diversité) en introduisant un nouveau personnage. A travers Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux, on ressent l’influence du cinéma asiatique comme à travers la scène où se confrontent Ying Li & Xu Wenwu.
The Tomorrow War
Il avait débuté sa carrière de réalisateur dans l’animation avec Lego Batman, le film et cette fois notre pote Chris McKay se lance dans le film en prise de vues réelles. Commençons par le scénario qui sent le réchauffé avec une énième menace planétaire pour laquelle on va avoir besoin des courageux américains.
Black Widow
On ne pensait pas la revoir et pourtant Black Widow est bien de retour pour des aventures en solo. Le spectateur remonte dans l’histoire du Marvel Cinematic Universe puisque le scénario nous installe peu après les évènements de Captain America : Civil War. C’est ainsi l’occasion de découvrir les origines mouvementées de cette héroïne et surtout de faire connaissance avec sa “famille”.
Boss Level
Le principe de la boucle temporelle, on commence à bien la connaître mais la petite originalité apportée par Boss Level c’est qu’il est aussi lié à l’univers des jeux vidéo. Roy, campé par un impeccable Frank Grillo, est l’archétype du héros ; capable aussi bien de braquer des bagnoles façon GTA que de se battre à l’épée. Le film regorge de bonnes idées comme cet hommage à Indiana Jones ou encore ce personnage de Guan-Yin avec sa fameuse réplique.
Let’s be evil
On ne ressort pas indemne de ce film. Oui, parce qu’il faut déjà une sacrée volonté pour aller jusqu’au bout bien qu’il ne dure qu’un peu plus d’1H20. Le principe de Let’s be evil est assez simple ; il donne l’opportunité au spectateur de vivre l’histoire comme s’il portait ces fameuses lunettes à réalité augmentée.
L’Homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot
Le titre ne peut pas laisser indifférent, associer le dictateur allemand à cette créature imaginaire relève de la pure fantaisie. L’homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot se montre plutôt passionnant dans sa première partie grâce notamment à un impeccable Sam Elliott. On accompagne cet homme dans ses souvenirs mais on partage aussi la solitude dans laquelle il est désormais plongé.
Cosmoball
Voilà un film qui part sur les chapeaux de roue. Une bataille entre le bien et le mal, la Lune détruite, la Terre en danger tout ça résumé en moins de 2 minutes. On a à peine le temps de se remettre de nos émotions que cela s’enchaîne avec une partie de Cosmoball dont on a du mal à comprendre les règles. La suite de l’histoire nous apportera davantage d’éclaircissements mais c’est vrai que pendant un bon moment on navigue à vue.
C’est nous les héros
On ne pourra pas reprocher à Robert Rodriguez de ne pas être un touche-à-tout ! Le réalisateur est aussi bien capable de nous offrir un Sin City que Les aventures de Shark Boy et Lava Girl. Ce dernier se voit désormais offrir un prolongement avec C’est nous les héros qui signe l’avènement de nouveaux justiciers en herbe.