Après le retour de Superman, place maintenant au justicier de Gotham mais pas celui qu’on a l’habitude de voir. A la suite d’un rapide clin d’œil à James Bond, Batman : Soul of the Dragon nous ramène dans l’ambiance des années 1970. L’autre particularité, c’est que l’histoire met plus en avant Bruce Wayne que son alter-ego dont on apprendra à quoi peut servir sa cape.
Catégorie : Animation
Qu’ils soient traditionnels ou en images de synthèse, retrouvez ici tous les films d’animation !
Street Fighter Alpha : The Animation
Après avoir exploité le filon Street Fighter 2, Capcom avait lancé Street Fighter Zero (ou Alpha en Europe) avec des personnages que l’on découvre dans leur jeunesse. C’est de cette série de jeux que s’inspire ce film d’animation constitué en réalité de 2 OAV. Graphiquement c’est plutôt plaisant et on retrouve le design qu’on a connu sur nos consoles pour ce qui est de l’histoire et de l’action, c’est une autre histoire.
La grande cavale
Il était une fois un chat, un chien, un coq et un zèbre (si vous vous demandez ce qu’il fait là, il faudra regarder le film !) se lançant à la poursuite d’un gang de voleurs. Une histoire assez improbable et librement inspirée d’un conte des frères Grimm ; les Musiciens de Brême. On ne va pas s’appesantir sur le scénario qui nous réserve une aventure rocambolesque avec cette drôle de ménagerie, tout cela est calibré pour le très jeune public
Batman : Mauvais sang
Comme beaucoup de ses collègues super-héros, Batman est passée par la Mort mais il a su s’en remettre ! Batman : Mauvais sang reprend en partie une histoire développée dans le comic book au sein de laquelle son ancien acolyte Dick Grayson reprenait le flambeau. C’est aussi l’occasion d’introduire de nouveaux personnages comme Batwoman ou encore Batwing (sans oublier une petite apparition surprise à la fin) posant ainsi les fondations de ce qu’on appelle la Bat-family.
Le Noël rêvé d’Angela
C’est un court-métrage d’animation qui ne paie pas de mine comme ça mais Le Noël rêvé d’Angela sait se distinguer par d’autres aspects. Il y a d’abord des personnages auxquels on accroche tout de suite, une famille simple loin de rouler sur l’or. Le charme opère aussi à travers la belle innocence de nos jeunes héros qui pensent rejoindre l’Australie en train parce qu’il n’est qu’à 4 pages de l’Irlande.
Lego Star Wars : Joyeuses fêtes
Voilà un film d’animation qui tombe à pic pour ceux qui n’ont pas d’idées de cadeaux pour leurs enfants. Cette nouvelle association entre Lego et la franchise Star Wars est un clin d’œil à l’épisode Holiday Special de 1978 qui avait réuni l’équipe de la saga originelle. Lego Star Wars : Joyeuses Fêtes ça reste surtout un cadeau fait aux fans car qui dit voyage dans le temps dit aussi retour sur de nombreuses scènes devenues cultes.
Batman : Gotham by gaslight
A l’origine de ce Batman : Gotham by gaslight il y a le roman graphique sorti en 1999 que l’on doit aux auteurs Brian Augustyn & Mike Mignola. Il est toujours intéressant de voir tout un univers familier propulsé dans une réalité alternative et celui-ci ne fait pas exception. On retrouve ainsi tout l’entourage de Bruce Wayne et si certains d’entre eux ne sont que de simples transpositions, d’autres vont se révéler avoir des rôles bien plus étonnants.
Resident Evil : Vendetta
L’expression “Jamais 2 sans 3” est appliquée ici à double titre puisqu’on retrouve une nouvelle fois notre pote Leon S. Kennedy mais il aura de la concurrence puisque le véritable héros de l’histoire c’est Chris Redfield ! Une nouvelle fois, le scénario ne fait pas preuve d’une grande inventivité ; un méchant de service et notre pauvre Rebecca Chambers qui doit endosser le role de la femme à sauver.
Resident Evil : Damnation
Chez Capcom, quand on tient une bonne licence, il faut l’exploiter à fond et ce ne sont pas les fans de Street Fighter qui diront le contraire ! L’histoire de Resident Evil : Damnation nous conduit hors de Racoon City, ce qui est plutôt appréciable tout comme ces images de synthèse de meilleure qualité (on est 4 ans après Resident Evil : Degeneration).
Resident Evil : Degeneration
Nous sommes en 2008, en marge de la saga cinématographique initiée par Paul W.S. Anderson l’éditeur Capcom lance ce premier film d’animation mêlant images de synthèse et Motion Capture. En ayant recours à cette technologie, il était inévitable que les graphismes prennent un coup de vieux et certaines cinématiques de nos jeux actuels sont bien meilleures que ce que l’on voit à l’écran.