C’est un nouveau survival qui se présente devant nous avec cette particularité que les participants sont constitués d’une bande de potes. Enfin, l’amitié qui les unit risque évidemment d’en prendre un coup puisque comme dirait Denis Brogniart : il n’en restera qu’un. Dès le départ Triggered se tire une balle dans le pied, on ne nous laisse pas le temps d’apprendre à connaître ces personnages.
Catégorie : Action
Les films d’action au cinéma
El Chicano
El Chicano c’est une légende urbaine, un homme masqué (encore à cause du Covid-19 ?) sur sa belle Harley qui vient rendre justice. On ne peut pas dire qu’on se laisse instantanément séduire par son histoire d’autant plus qu’on a même un peu de mal à la comprendre au départ. On pouvait espérer que les scènes d’action rattrapent un peu tout ça mais là aussi c’est décevant avec une première heure bien pauvre.
Wolf Warrior 2
Wolf Warrior 2 est entré dans l’histoire puisqu’il s’agit-là du plus gros succès au box-office chinois ! On retrouve Wu Jing avec sa double casquette et c’est plutôt une surprise de voir l’action se dérouler sur le continent africain. Les scènes d’action se montrent bien plus diversifiées que dans le premier volet mais le film aligne aussi pas mal de scènes échappant à toute logique.
Wolf Warrior
Place à l’action avec Wolf Warrior dans lequel Wu Jing est mis à l’honneur à double titre puisqu’il est le réalisateur et personnage principal. Le programme n’est pas très original ; un soldat intégrant une unité d’élite qui va avoir l’occasion de mettre à profit ses talents. Une histoire d’autant plus banale que les personnages secondaires sont transparents ; il n’y a qu’un des frères d’armes du héros qui a droit à un léger portrait pour essayer d’apporter un brin d’émotion.
Money Plane
Money Plane c’est une belle comédie qu’on… comment ? Un film d’action ? Non, sérieusement ? L’histoire débute par l’organisation du vol d’un tableau pas crédible pour un sou et qui nous laisse déjà entrevoir les limites des futurs décors. A partir du moment où on monte à bord de cet avion censé être luxueux, on comprend que le budget du film est parti ailleurs. Peut-être dans les cachets réservés à Denise Richards & Thomas Jane aux rôles mineurs.
Hellboy
Si pendant longtemps on a pu espérer que Guillermo Del Toro allait conclure les aventures d’Hellboy avec une trilogie, l’annonce du reboot a anéanti tous les espoirs. C’est au réalisateur Neil Marshall qu’incombe la lourde tâche de lui succéder et à David Harbour d’endosser les cornes de l’enfer. Un nouveau départ pour la créature née de l’imagination de Mike Mignola qui est loin de nous convaincre.
L’attaque des donuts tueurs
Après s’être offert un petit carpaccio de tomates, avoir dégusté une splendide moussaka ; place à la note sucrée avec L’attaque des donuts tueurs ! On ne peut que saluer la cohérence d’un tel projet cinématographique ; le jeu d’acteur et les effets spéciaux répondent parfaitement à l’ambitieux scénario de ce film.
Street Fighter Alpha : The Animation
Après avoir exploité le filon Street Fighter 2, Capcom avait lancé Street Fighter Zero (ou Alpha en Europe) avec des personnages que l’on découvre dans leur jeunesse. C’est de cette série de jeux que s’inspire ce film d’animation constitué en réalité de 2 OAV. Graphiquement c’est plutôt plaisant et on retrouve le design qu’on a connu sur nos consoles pour ce qui est de l’histoire et de l’action, c’est une autre histoire.
Crawl
La belle carrière outre-atlantique d’Alexandre Aja se poursuit et il prouve une nouvelle fois son amour pour les créatures aquatiques. Après le remake de Piranhas, le français offre cette fois Kaya Scodelario & Barry Pepper en guise d’apéritifs à des alligators assoiffés de sang. Si au travers de son déroulement, Crawl ne réussit pas à nous surprendre, il se montre néanmoins d’une efficacité redoutable et ne laisse pas de place à l’ennui.
Power Rangers
Les Power Rangers, c’est d’abord l’adaptation américaine des Super Sentai du Japon. Une série à partir de laquelle voient le jour deux premiers films avant ce reboot censé ouvrir la voie à une saga cinématographique. Jusqu’à présent caractérisé par son aspect kitsch, on adopte ici un ton plus sérieux porté par un casting où l’on retrouve tout de même une excellente Elizabeth Banks ou encore Bryan Cranston en Zordon.