Après La terre et le sang, l’histoire entre Netflix et Julien Leclercq se poursuit avec ce nouveau film où on peine à reconnaître la patte du réalisateur. On le constate dès la première scène de fusillade d’une platitude sans nom et ça ne va pas aller en s’arrangeant. Les phases d’action sont assez maigres ; le spectateur doit se contenter d’une petite baston à l’hôpital et d’un final bien terne.
Catégorie : Action
Les films d’action au cinéma
Goldorak au cinéma
Le titre fait rêver tous les fans du robot de Gō Nagai mais la réalité est que Goldorak au cinéma n’est pas véritablement un film. Retour en 1979, le succès de la série animée est telle qu’émerge l’idée de prolonger l’aventure sur le grand écran avec le merchandising et les profits qui vont avec. C’est donc en piochant 5 épisodes, en faisant un petit montage accompagné d’un nouveau doublage qu’on obtient ce soi-disant long métrage !
Love and Monsters
Etes-vous prêts à affronter tous les dangers par amour ? C’est en tout cas le défi que s’est lancé notre pote Dylan O’Brien et qui nous permet de découvrir un monde dévasté où les animaux & insectes mutés ont pris le pouvoir. Un état des lieux qui nous est présenté d’une manière originale en introduction et qui donne le ton de ce film entre aventure et comédie.
Cosmoball
Voilà un film qui part sur les chapeaux de roue. Une bataille entre le bien et le mal, la Lune détruite, la Terre en danger tout ça résumé en moins de 2 minutes. On a à peine le temps de se remettre de nos émotions que cela s’enchaîne avec une partie de Cosmoball dont on a du mal à comprendre les règles. La suite de l’histoire nous apportera davantage d’éclaircissements mais c’est vrai que pendant un bon moment on navigue à vue.
‘Ohana ou le trésor caché
Voilà un film familial qui nous propose rien moins qu’une chasse au trésor dans les beaux paysages de l’archipel d’Hawaï. Au détour de quelques scènes, on y apprend que ces terres ont servi aux tournages d’un certain Jurassic Park ou encore à la série Lost. Pour en revenir à Ohana ou le trésor caché, l’histoire ne propose pas juste une expédition mais met aussi en avant la culture hawaïenne et le poids des traditions.
Monster Cars
C’est un film qui a une drôle de réputation puisqu’avant même son exploitation, on annonçait déjà des pertes. Comme si cela ne suffisait pas, on apprend aussi que l’idée du scénario vient d’un enfant de 4 ans ! Il est vrai que de voir fusionner un monstre et une voiture c’est un peu tiré par les tentacules mais au final ce Monster Cars tient plutôt la route.
Triggered
C’est un nouveau survival qui se présente devant nous avec cette particularité que les participants sont constitués d’une bande de potes. Enfin, l’amitié qui les unit risque évidemment d’en prendre un coup puisque comme dirait Denis Brogniart : il n’en restera qu’un. Dès le départ Triggered se tire une balle dans le pied, on ne nous laisse pas le temps d’apprendre à connaître ces personnages.
El Chicano
El Chicano c’est une légende urbaine, un homme masqué (encore à cause du Covid-19 ?) sur sa belle Harley qui vient rendre justice. On ne peut pas dire qu’on se laisse instantanément séduire par son histoire d’autant plus qu’on a même un peu de mal à la comprendre au départ. On pouvait espérer que les scènes d’action rattrapent un peu tout ça mais là aussi c’est décevant avec une première heure bien pauvre.
Wolf Warrior 2
Wolf Warrior 2 est entré dans l’histoire puisqu’il s’agit-là du plus gros succès au box-office chinois ! On retrouve Wu Jing avec sa double casquette et c’est plutôt une surprise de voir l’action se dérouler sur le continent africain. Les scènes d’action se montrent bien plus diversifiées que dans le premier volet mais le film aligne aussi pas mal de scènes échappant à toute logique.
Wolf Warrior
Place à l’action avec Wolf Warrior dans lequel Wu Jing est mis à l’honneur à double titre puisqu’il est le réalisateur et personnage principal. Le programme n’est pas très original ; un soldat intégrant une unité d’élite qui va avoir l’occasion de mettre à profit ses talents. Une histoire d’autant plus banale que les personnages secondaires sont transparents ; il n’y a qu’un des frères d’armes du héros qui a droit à un léger portrait pour essayer d’apporter un brin d’émotion.