On ne ressort pas indemne de ce film. Oui, parce qu’il faut déjà une sacrée volonté pour aller jusqu’au bout bien qu’il ne dure qu’un peu plus d’1H20. Le principe de Let’s be evil est assez simple ; il donne l’opportunité au spectateur de vivre l’histoire comme s’il portait ces fameuses lunettes à réalité augmentée.
Catégorie : Science-Fiction
Les films de Science-Fiction au cinéma
L’Homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot
Le titre ne peut pas laisser indifférent, associer le dictateur allemand à cette créature imaginaire relève de la pure fantaisie. L’homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot se montre plutôt passionnant dans sa première partie grâce notamment à un impeccable Sam Elliott. On accompagne cet homme dans ses souvenirs mais on partage aussi la solitude dans laquelle il est désormais plongé.
Cosmoball
Voilà un film qui part sur les chapeaux de roue. Une bataille entre le bien et le mal, la Lune détruite, la Terre en danger tout ça résumé en moins de 2 minutes. On a à peine le temps de se remettre de nos émotions que cela s’enchaîne avec une partie de Cosmoball dont on a du mal à comprendre les règles. La suite de l’histoire nous apportera davantage d’éclaircissements mais c’est vrai que pendant un bon moment on navigue à vue.
C’est nous les héros
On ne pourra pas reprocher à Robert Rodriguez de ne pas être un touche-à-tout ! Le réalisateur est aussi bien capable de nous offrir un Sin City que Les aventures de Shark Boy et Lava Girl. Ce dernier se voit désormais offrir un prolongement avec C’est nous les héros qui signe l’avènement de nouveaux justiciers en herbe.
Power Rangers
Les Power Rangers, c’est d’abord l’adaptation américaine des Super Sentai du Japon. Une série à partir de laquelle voient le jour deux premiers films avant ce reboot censé ouvrir la voie à une saga cinématographique. Jusqu’à présent caractérisé par son aspect kitsch, on adopte ici un ton plus sérieux porté par un casting où l’on retrouve tout de même une excellente Elizabeth Banks ou encore Bryan Cranston en Zordon.
Bleeding steel
Pas de temps à perdre avec Bleeding Steel, c’est une scène d’ouverture musclée teintée d’une certaine dramaturgie qui nous accueille. On perçoit vite l’aspect science-fiction qui se confirmera plus tard avec l’apparition d’étranges personnages qu’on croirait sortir directement d’un Super Sentai. La suite, c’est une partie plus axée sur la comédie à travers le personnage de Li Sen avant que l’action ne reprenne ses droits.
Code 8
Avec Code 8, le réalisateur Jeff Chan se voit offrir la chance de développer un univers qu’il avait d’abord introduit dans un court-métrage. Sur le plan scénaristique, rien de nouveau à l’horizon avec des individus possédant des pouvoirs et qui sont de ce fait rejetés de la société. Les scènes d’action n’ont rien de démentielles, les quelques manifestations de pouvoirs se font à travers l’apparition d’électricité ou de télékinésie.
Blade : Trinity
Comme on dit “Jamais 2 sans 3 ” et c’est ainsi que notre pote Wesley Snipes endosse de nouveau sa veste en cuir pour botter les fesses des vampires. Jusqu’à présent scénariste attitré de la saga, David S. Goyer s’offre le luxe de conclure les aventures de notre chasseur nocturne en tant que réalisateur.
Blade II
Pour tout vous dire, j’ai été surpris de voir que ce Blade II relevait de manière significative le niveau par rapport à son prédécesseur. Il y a avait un détail que j’avais totalement zappé en revoyant ce film c’est que derrière la caméra se trouve un certain Guillermo Del Toro et c’est une chose qu’on remarque à l’écran.
Blade
Aujourd’hui le Marvel Cinematic Universe en fait rêver beaucoup mais il a fallu essuyer les plâtres ! On retourne en 1998 avec cette adaptation d’un héros mi-humain mi-vampire qui ne s’est pas forcément bonifiée avec l’âge. Blade c’est le film d’action assez caractéristique de l’époque ; l’action prend le pas sur la réflexion et en la matière Wesley Snipes est plutôt bon.