L’histoire reprend tout de même des éléments du premier épisode en accentuant l’aspect fin du monde apocalyptique. Les décors désertiques parcourus par des véhicules rafistolés, une humanité en décomposition et des scènes d’action déjà bluffantes (ça date quand même de 1981!) prémices de l’explosif Mad Max : Fury Road ; voilà l’essence même de la saga qui se dévoile devant nos yeux !
Catégorie : Science-Fiction
Les films de Science-Fiction au cinéma
Mad Max : Au-delà du Dôme du tonnerre
Direction Trocpolis où on est quand même surpris d’y trouver Tina Turner. Ce volet offre en fait un sentiment mitigé ; si on retrouve dans la première partie ce monde post-apocalyptique qui nous fascine (le combat dans le Dôme du tonnerre frise toutefois aujourd’hui le ridicule), on a ensuite une autre pour le moins étonnante.
Parallels
C’est bien beau de vouloir nous proposer différentes versions de notre réalité encore faut-il avoir les moyens de ses ambitions ce qui n’est évidemment pas le cas ici. Déjà en termes de découvertes ça se limite à 2 univers et encore cela se déroule de manière très sommaire et puis l’intrigue est aussi excitante qu’un rendez-vous chez mon podologue.
Jodorowsky’s Dune
Jodorowsky’s Dune revient ainsi sur le projet incroyable sur lequel avait planché le réalisateur matérialisé en un immense livre. Un casting aux allures de Dream Team, des dessins et esquisses signés par les maitres Moebius, Chris Foss ou encore H.R. Giger ; une Bande-Originale confiée à Pink Floyd et Magma ; tout ça ne peut que nous laisser rêveur.
10 Cloverfield lane
Un épisode toutefois assez différent d’abord avec la réalisation de Dan Trachtenberg qui laisse de côté le Found-footage pour une réalisation plus classique.
Venom
Ce Venom ne va pas arranger les choses, on est bien loin de retrouver le sanguinaire nemesis du tisseur du comic book. Si l’apparence du symbiote prête déjà à débat, on a aussi du mal à supporter le rapport qu’il entretient avec Tom Hardy au point qu’on a l’impression d’assister à un spectacle de Jeff Panacloc avec Jean-Marc…
Captain Marvel
Si l’esprit des années 90 et les notes d’humour (un peu trop poussé à mon goût) savent faire leur effet, on regrette avant tout l’absence d’un véritable personnage pour lui tenir tête.