Les films de Science-Fiction au cinéma
Et si la Terre était condamnée ? Notre pote Christopher Nolan part donc de ce postulat pour mettre en scène son odyssée de l’espace et tenter de nous mettre des étoiles plein les yeux. On embarque donc avec et un McConaughey terriblement émouvant dans sa relation avec sa fille (sympa pour son fils au passage) mais Interstellar est aussi à des années lumières du grand spectacle qu’on pouvait attendre.
Développé pour être un spin-off de la saga X-Men, Les nouveaux mutants se sera perdu au milieu des décisions des studios retardant toujours plus la sortie dans les salles. Le film arrive donc avec une certaine indifférence et c’est aussi vrai quand on le découvre à l’écran. Le scénario a quand même le mérite de nous épargner le schéma classique de la confrontation avec le méchant de service en s’orientant vers l’épouvante.
Après l’ambitieux Cloud Atlas, Lana & Andy Wachowsky se lancent encore dans un grand projet avec ce space-opera. On a mis les petits plats dans les grands avec Jupiter : Le destin de l’univers ; c’est un véritable spectacle visuel qui se dévoile avec un écran souvent inondé d’effets spéciaux.
Parce que le voyage dans le temps reste (et devrait rester) un véritable fantasme, ça fera encore l’objet de nombreux films. Ici avec Projet Almanac, on a couplé l’idée avec une réalisation en found-footage histoire de faire un peu plus moderne.
Non ce n’est pas encore un nouveau retour de Robocop mais nul doute que ce super flic a inspiré Neill Blomkamp qui nous livre une version customisée qui ne manque pas de fun. Chappie c’est le robot le plus gangsta du cinéma capable aussi bien de s’émerveiller devant le générique des Maîtres de l’univers que de braquer de belles bagnoles.
Des scientifiques enfermés dans leur labo, une expérience interdite qui tourne au drame ; on peut difficilement dire que Lazarus effect parte sur des bases novatrices. Cette première réalisation de David Gelb confirme par la suite cette impression à savoir qu’on tient un énième film d’horreur-épouvante qui ne se manifeste qu’à travers quelques jumps scares.
Oubliez un instant Samuel L. Jackson et faites place à notre pote David Hasselhoff qui fut le premier acteur à porter le bandeau du célèbre Nick Fury : Agent of SHIELD ! On est de retour en 1998 et cela se voit tout de suite à l’écran avec ces effets spéciaux d’un autre temps.
C’est la fin ! Ainsi était annoncé ce Justice League Dark : Apokolips War qui allait clore le DC Animated Movie Universe débuté en 2013. Autant vous dire qu’avec cette perspective, ils se sont lâchés et qu’énormément de héros vont tomber ce qui n’est pas pour réjouir les spectateurs. Il y a en tout cas un sacré casting avec les présences combinées de la Justice League, des Titans et même de la Suicide Squad, c’est vous dire si la situation est désespérée.
C’est un retour plus qu’attendu pour les héros de chez Marvel après un premier épisode qui a battu de nombreux records et cette suite tient ses promesses. On appréciera notamment le soin apporté par Joss Whedon à développer les personnages secondaires que sont la Veuve noire, Hulk & Hawkeye qui n’ont pas l’occasion de s’éclater dans des aventures solos. Avengers : L’ère d’Ultron est un blockbuster avec ce que cela implique à savoir de l’action en pagaille, des super pouvoirs à gogo et une bonne dose d’humour nécessaire pour contenter tout le monde.
L’Intelligence Artificielle c’est l’avenir ce qui continue d’alimenter les fantasmes et encore plus au cinéma. Jusqu’ici cantonné aux scénarios, notre pote Alex Garland se lance dans la réalisation en nous offrant un film à l’esthétique soigné. Vous pouvez ajouter à ça un casting efficace et mis en valeur à travers ce huis-clos malgré cela il faut reconnaître que la première heure est assez monotone et si la suite réserve un peu plus d’animation cela ne déchaîne pas non plus les passions.