Leur consécration est venue d’une simple vidéo postée sur Instagram et voilà désormais Inès Reg & Kevin Debonne vedettes d’un film revenant sur leur histoire d’amour. Ce n’est déjà pas au niveau du scénario que Je te veux, moi non plus va se démarquer ; des potes d’enfance qui se rendent compte qu’ils sont amoureux c’est du réchauffé.
Auteur/autrice : cine2909
Max Steel
Max Steel c’est d’abord le héros d’une gamme de jouets fabriqués par Mattel. Cela a donné des séries d’animation avant que cette adaptation en film live ne pointe le bout de son nez. Une histoire assez classique où un jeune homme se découvre des pouvoirs et c’est là que débarque l’alien Steel. Un tandem auquel on a vraiment du mal à accrocher, ça se veut drôle mais ça manque totalement son objectif.
Chérie, j’ai rétréci les gosses
Retour en 1989 et donc en pleine enfance pour moi quand j’ai découvert Chérie, j’ai rétréci les gosses. A cette époque, le film vendait du rêve avec ces héros réduits à la taille d’un insecte ; l’entourage prend une tout autre dimension. On n’aura jamais vécu une telle aventure simplement en traversant un jardin où traînent jouets, gâteaux et même des scorpions.
Malcolm & Marie
Comme quoi un simple Merci, ça peut vous changer la vie ou du moins vous sauver une soirée ! Proposer le huis-clos d’un couple de surcroit en noir & blanc est un pari risqué que Sam Levinson remporte haut la main avec la complicité de ses interprètes. Malcolm & Marie adopte un rythme similaire à une pièce de théâtre ; des scènes intenses entrecoupées de quelques moments de répit.
Chérie, nous avons été rétrécis
On a rétréci les enfants, agrandi un bébé ; quelle autre surprise pouvaient nous réserver les Szalinski ? Rétrécissons les parents ! Si on a le plaisir de retrouver Rick Moranis, il est le seul rescapé des aventures précédentes. Chérie, nous avons été rétrécis ne s’est pas beaucoup embarrassé reprenant certaines scènes du premier épisode.
Chérie, j’ai agrandi le bébé
On prend les mêmes et on recommence … ou presque ! C’est ainsi l’occasion de retrouver la famille Szalinski qui décidément ne fait jamais rien comme les autres. Les scénaristes ne se sont pas creusé les méninges bien longtemps ; au lieu de faire rétrécir des enfants on transforme un bébé en géant.
Ailleurs
On peut dire que ce Ailleurs est un peu le bébé de Gints Zilbalodis puisqu’il est à la tête de tout ! De la réalisation au scénario en passant par la composition, il est le seul et unique créateur d’un film d’animation remarquable. Il y a déjà une plongée dans un univers en 3D d’une grande beauté et l’originalité vient aussi d’un pari osé puisqu’il ne nous propose aucun dialogue.
En passant pécho
Commençons par le début, En passant pécho c’est d’abord une web-série (que je ne connaissais pas jusqu’alors) et dont le succès l’a conduit à se décliner à travers ce long-métrage. L’histoire nous amène à suivre 2 dealers qui vont nous faire entrer dans un univers totalement barré. Entre des acteurs qui en font des tonnes, des dialogues débités à 120 à l’heure dans un langage bien fleuri et un humour bas-de-plafond ; cela fait beaucoup à supporter.
Flora & Ulysse
Nom d’un Bagumba ! L’idée de voir les exploits écureuil doté de pouvoirs n’avait rien de très attirant au départ mais quelle belle surprise. Après une petite promotion pour le catalogue Marvel (Merci Disney), on fait la connaissance d’une drôle de jeune fille qui se revendique cynique.
Like a boss
On rejoint 2 potes d’enfance dans leur aventure entrepreneuriale qui vont se voir offrir une opportunité incroyable. Une histoire cousue de fil blanc avec une amitié qui va etre remise en cause et pas besoin d’être devin pour connaitre le dénouement. En passant, on délivre une petite leçon de morale sur le fait que l’argent n’achète pas tout et tout le monde il est heureux.










