On retrouve un peu le pendant féminin de Belle & Sébastien si ce n’est qu’ici notre héroïne passe plutôt son temps avec les chèvres au cœur de beaux paysages montagneux. Roulades dans l’herbe, descente en luge, bêtises et autres fariboles sont là pour amuser les enfants à travers une histoire terriblement prévisible.
Auteur/autrice : cine2909
Mad Max
On ne peut pas le nier Mad Max a vieilli et pas forcément de la meilleure des façons. C’est avec un petit sourire en coin qu’on découvre cette bande de renégats qui ne sont rien moins que d’ordinaires motards.
Les délices de Tokyo
Les délices de Tokyo se montre par la suite bien plus profond d’abord à travers le portrait de ses 3 âmes solitaires (même si le film se concentre surtout sur Tokue & Sentaro) avant de nous faire découvrir la situation d’un pan de la population japonaise qui se retrouve totalement marginalisé.
La tour 2 contrôle infernale
L’humour ras des pâquerettes qui a accompagné Eric & Ramzy est toujours là pour le plaisir des fans comme des plus fidèles détracteurs. La bonne idée reste d’avoir rappelé une partie du casting originel avec Marina Foïs et Serge Riaboukine auxquels s’invite le nouveau et surprenant Philippe Katerine.
Les saisons
a naissance d’une biche, les confrontations musclées des chevaux et des ours ou encore une petite araignée qui tisse sa toile ; on voit effectivement de nombreux animaux. Alors quid des saisons ? Les paysages enneigés succèdent à une foret baignée par le soleil ou tapissée par les feuilles tombées mais il n’y a pas véritablement de logique à tout ça.
Mad Max 2 : Le défi
L’histoire reprend tout de même des éléments du premier épisode en accentuant l’aspect fin du monde apocalyptique. Les décors désertiques parcourus par des véhicules rafistolés, une humanité en décomposition et des scènes d’action déjà bluffantes (ça date quand même de 1981!) prémices de l’explosif Mad Max : Fury Road ; voilà l’essence même de la saga qui se dévoile devant nos yeux !
Encore heureux
A défaut d’en avoir une de crédit, ils jouent la carte de la débrouille que ce soit au supermarché ou au fond d’une benne à ordures. Une famille qui se montre plutôt attachante à l’opposé du personnage stéréotypé de Madeleine, une vieille dame vivant dans le luxe qui se trouve être aussi pingre que désagréable.
The boy
Ça a l’apparence d’un film d’horreur-épouvante mais au fil des minutes ça tire plus vers le thriller, autant vous dire que si vous cherchiez à avoir des frissons vous risquez d’être déçu. L’histoire d’abord assez rocambolesque ne se montre pas non plus des plus extraordinaires avec un dénouement lui aussi pas loin de nous laisser indifférent.
Mad Max : Au-delà du Dôme du tonnerre
Direction Trocpolis où on est quand même surpris d’y trouver Tina Turner. Ce volet offre en fait un sentiment mitigé ; si on retrouve dans la première partie ce monde post-apocalyptique qui nous fascine (le combat dans le Dôme du tonnerre frise toutefois aujourd’hui le ridicule), on a ensuite une autre pour le moins étonnante.
Tout en haut du monde
Un aspect visuel qui n’est pas sans rappeler celui offert par l’univers de Tomm Moore et l’expérience de Rémi Chayé en tant qu’assistant-réalisateur notamment sur Brendan et le secret de Kells n’y est sans doute pas pour rien (le personnage de Katch a d’ailleurs des similarités physiques avec ce personnage).