Ce n’est pas parce qu’il fait de la pub pour une marque de soda que le Père Noël a l’exclusivité sur la distribution de cadeaux ! La sorcière de Noël donne d’abord l’occasion pour certains spectateurs de découvrir le mythe de la Befana apportant des cadeaux chaque nuit du 6 au 7 janvier. A partir de cette légende, l’histoire va vite prendre des allures de grande aventure pour ce groupe d’enfants aux profils aussi diversifiés que stéréotypés.
Catégorie : Comédie
Les films comiques au cinéma
Noël est au rendez-vous
Quand au bout de 5 minutes on nous dégaine déjà un Jingle Bells, on se dit que l’esprit de Noël va nous être martelé pendant tout le film. C’est un peu le cas puisqu’une chorale nous accompagne tout au long mais contre toute attente le charme opère au fur et à mesure qu’on découvre ce petit village de York. L’histoire paraît assez simple ; une fille souhaitant recaser son père mais derrière cela il y a aussi un drame familial encore présent dans les esprits
Noelle
Chaque année on attend son passage et ses cadeaux par milliers mais le Père Noël a aussi une famille ! Ce n’est pas du côté de l’histoire qu’on trouvera un véritable intérêt à Noelle, il faut plutôt se pencher sur la pétillante Anna Kendrick pour nous amuser. Il y a des idées marrantes comme ce running gag avec la tablette ou encore ce chœur qui improvise des chants sur tout et n’importe quoi.
Last Christmas
Si vous êtes allergiques aux comédies romantiques et à la discographie de Georges Michael, ce film n’est vraiment pas fait pour vous ! Last Christmas c’est d’abord la rencontre amoureuse entre une Kate bien paumée dans sa vie et un Tom qui lui au contraire la croque à pleine dents. Des personnages auxquels on s’attache vite (Emilia Clarke en même temps j’ai du mal à résister…) et dont la relation évolue de façon assez classique jusqu’à ce qu’une surprise vienne bouleverser l’histoire.
Always be my maybe
On la connaît assez peu en France, Ali Wong s’est construit une solide réputation sur les scènes de stand-up américaines. Outre sa présence devant la caméra, elle a aussi participé à l’écriture du scénario de Always be my maybe tout comme son partenaire à l’écran Randall Park. Le duo est sympathique mais n’a rien d’irrésistible à l’image de leur histoire qui est loin de respirer l’originalité.
Penalty Kick
On n’a pas le même maillot, mais on a la même passion ! Penalty Kick est le remake d’un film colombien datant de 2001 et reprend l’histoire d’un supporter en adoration devant son équipe nationale de football qui va connaître quelques déboires. On pouvait s’y attendre, cette comédie ne manque pas d’idées reçues ni de situations incongrues pour tenter de nous faire rire.
Le coup du siècle
C’est un remake du film Le plus escroc des deux (qui était déjà lui-même un remake des Séducteurs) qui est ici confié aux bons soins du réalisateur Chris Addison. On se réjouissait plutôt à l’idée de découvrir le duo improbable formé par Anne Hathaway & Rebel Wilson. La première en femme un peu guindée avec ses différents accents et la seconde en tornade qui dévaste tout sur son passage.
Le voyage du Dr. Dolittle
Après Eddie Murphy en 1998, c’est notre pote Robert Downey Jr. qui reprend le rôle du héros dans une version plus proche de l’œuvre d’origine que l’on doit à l’auteur Hugh Lofting. Le voyage du Dr. Dolittle nous embarque dans une aventure (qui se veut) extraordinaire avec des animaux dotés de parole volant ainsi la vedette à l’acteur principal.
L’un dans l’autre
Le Body Swap c’est un genre qu’on a rarement l’occasion de voir dans le cinéma français et c’est un pari que tente le réalisateur Bruno Chiche. Alors oui, il faut avoir l’esprit ouvert et pas qu’un peu quand on voit l’absence de finesse du scénario pour amener cette transformation. On retrouve avec L’un dans l’autre les ressorts habituels de ces comédies avec la multiplication de quiproquos résultant de l’échange de corps.
Bécassine !
Dans la vague des adaptations de bande-dessinée, on n’attendait pas forcément celle de Bécassine ! C’est un personnage un peu oublié puisque ses origines remontent tout de même à 1905 sorti de l’imagination de la scénariste Jacqueline Rivière et du dessinateur Joseph Pinchon. Si la patte du réalisateur Bruno Podalydès se fait sentir dans les premières minutes, on ne la retrouve par la suite que par petites touches.