On retrouve effectivement certains lieux communs comme l’accent chantant marseillais (concurrencé quand même par le québecois), le culte pour le football avec un caméo sympathique et comment pourrait-on oublier le traditionnel Pastaga !
Catégorie : Drame
Les films dramatiques au cinéma
Mr. Ove
Le cinéma suédois nous enchante à nouveau avec cette adaptation du roman de Fredrik Backman. Si tout au long du film le personnage principal qu’est Mr. Ove cherche à mettre fin à ses jours c’est aussi pour déclencher des flashbacks qui le montre sous un tout autre aspect.
Braqueurs
En tout cas, il faut bien reconnaître qu’en matière d’action, ça fait le job ! L’autre point positif concerne un casting réussi où notre pote Sami Bouajila se montre un ton au-dessus de ses camarades Guillaume Gouix & Youssef Hajdi.
Cinquante nuances plus claires
Sortez les fouets et les menottes, nos potes Dakota Johnson & Jamie Dorman viennent (enfin) conclure la saga érotique née de l’imagination de l’auteure E.L. James. Avec 50 nuances plus claires, on reste dans la continuité des précédents opus à savoir une intrigue aussi légère que les tenues arborées par Anastasia et une louchette de scènes érotiques pour faire monter la température.
Joyeuse fête des mères
La formule n’a pas changé d’un iota avec la présence d’une multitude de personnages et d’histoires oscillant entre l’émotion (les histoires de Bradley & Kristin) et le vaudeville de bas-étage (Jesse et ses parents). Mielleux à souhait et aussi prévisible qu’un discours politique en pleine campagne présidentielle, la comédie est digne de ses prédécesseurs à savoir un produit sans saveur.
Cinquante nuances de Grey
Que celui qui n’a pas entendu parler du succès littéraire de E.L. James prennent 29 coups de fouets (et je sais que certains vont apprécier). Porté à l’écran par Sam Taylor-Johnson, inutile de préciser que Cinquante nuances de Grey était attendu au tournant et en voyant le film on peut quand même se demander pourquoi.
Avant toi
Avant toi est adapté du roman éponyme de Jojo Moyes et dévoile ainsi la vie brisée d’un jeune homme paralysé à la suite d’un terrible accident et pris en main par la joviale Louisa. Ses tenues bariolées et son énergie communicative tentent ainsi de masquer une histoire dont le déroulement est on ne peut plus classique si ce n’est que le film aborde (ou plutôt devrait-on dire survole) aussi le sujet sensible de l’euthanasie.
Bohemian Rhapsody
La genèse aura été longue (le projet remontant à 2010) et mouvementé (Le réalisateur Bryan Singer a été viré 2 semaines avant la fin du tournage) mais le film tient toutes ses promesses. On pourra quand même lui reprocher de rester cantonné à une structure linéaire d’un biopic toutefois on gardera surtout en mémoire une phénoménale scène finale.
Mia et le lion blanc
La surprise ne fut que plus agréable de découvrir une histoire bien plus intéressante qu’il n’y paraissait d’autant que la relation entre Mia et Charlie est on ne peut plus authentique. Il faut en effet savoir que le tournage s’est étalé sur 3 ans et sur ce même laps de temps la jeune actrice Daniah De Villiers aura grandi aux côtés de ce lion.
Miraï, ma petite sœur
A l’image de cette maison à l’architecture atypique, on peut parfois se sentir déstabilisé face à ces scènes qui nous font voyager à travers le temps et l’espace comme celle se déroulant à la gare.