Pour sa première apparition au cinéma, l’humoriste D’Jal n’aura pas eu à chercher l’inspiration bien loin. Il a en effet décidé de surfer sur le succès de son sketch Le portugais qui a accumulé des millions de vues sur YouTube pour développer cette comédie.
Catégorie : Le Cinéma à la fiche
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Playlist
Elle s’est d’abord exprimée à travers la bande dessinée et l’imagination de Nine Antico est tellement débordante qu’elle s’invite maintenant au cinéma. Une première réalisation qui détonne tout de suite avec ces images en noir & blanc et la voix off de Bertrand Belin qui acompagne les mésaventures de Sophie. Trimballée entre un patron qui a l’honnêteté de reconnaître qu’il est un vrai connard et une vie sentimentale chaotique, Sara Forestier déploie une fois encore sa belle énergie communicative.
Promising Young Woman
Emerald Fennell signe là sa première réalisation et réussit d’emblée à marquer les esprits. Il y a de la vengeance dans l’air dans Promising Young Woman et elle est parfaitement incarnée par une Carey Mulligan qui crève l’écran. Présentée d’abord en tant que femme vulnérable, son véritable visage se dévoile pour notre plus grand plaisir.Ce personnage de Cassie est fascinant dans la mesure où elle rayonne par la tristesse qu’elle traîne derrière elle rendant presque inévitable une conclusion qui vous fait passer par toutes les émotions.
Nobody
Au scénario, on retrouve Derek Kolstad qui s’est notamment chargé de la saga John Wick ce qui explique les nombreuses similitudes relevées dans l’histoire de Nobody. Ce n’est pas un chien qui va provoquer l’ire de notre héros mais le collier d’un chaton et on retrouve aussi le méchant russe qui veut venger son fils. Un scénario qui a donc des allures de réchauffé mais tout cela est mené à vive allure par le réalisateur Ilya Naishuller qui s’était fait remarquer avec l’atypique Hardcore Henry.
Detective Conan : The Scarlet Bullet
Précisons d’entrée que je connais vaguement ce héros créé par Gōshō Aoyama dont la popularité n’a cessé de croître depuis 1994. Pour les néophytes comme moi, le film d’animation nous offre une petite présentation des principaux protagonistes avant de nous plonger dans cette enquête. Cela ne m’a pas empêché de me retrouver un peu noyé au milieu de ce beau monde d’autant plus que l’histoire présentée ne m’a pas passionnée outre mesure. L’ensemble m’a même paru un peu long à vrai dire.
The Father
C’est d’abord sur les planches du théâtre que Le père de Florian Zeller a fait ses débuts suscitant vite des critiques dithyrambiques. L’auteur français se charge lui-même de cette adaptation pour le grand écran, signant par la même occasion sa première réalisation. Toute la force de The father est de parvenir à faire perdre aux spectateurs ses repères nous faisant ainsi ressentir la détresse d’Anthony sans oublier celle de sa fille Anne.
StarDog & TurboCat
Les super-héros ce n’est pas ce qui manque sur nos écrans et ce film d’animation de Ben Smith ne risque pas d’inverser la tendance. Tant qu’à nous proposer des justiciers costumés, autant s’inspirer de ce qui a déjà été fait et c’est sans vergogne que StarDog & TurboCat adapte à sa sauce le duo Batman / Superman. Hommage aux icônes de chez DC Comics ou plagiat ?
Petit Vampire
Une bande dessinée, des nouvelles et des romans, une série télévisée et c’est maintenant sur le grand écran qu’on retrouve le personnage sorti de l’imagination de Joann Sfar. C’est un univers que je découvre et le charme agit instantanément grâce à une galerie de personnages fantaisistes. Que ce soit Marguerite toujours prêt à vous offrir du caca ou encore le chien Fantomate et son accent marseillais, on s’attache vite à cette bande.
Boss Level
Le principe de la boucle temporelle, on commence à bien la connaître mais la petite originalité apportée par Boss Level c’est qu’il est aussi lié à l’univers des jeux vidéo. Roy, campé par un impeccable Frank Grillo, est l’archétype du héros ; capable aussi bien de braquer des bagnoles façon GTA que de se battre à l’épée. Le film regorge de bonnes idées comme cet hommage à Indiana Jones ou encore ce personnage de Guan-Yin avec sa fameuse réplique.
Le Discours
C’est au départ un roman que l’on doit à l’auteur Fabcaro qui se voit adapter par Laurent Tirard sur le grand écran. On pourrait résumer l’histoire en une banale rupture – ah non pardon une pause – mais cela est bien plus réjouissant qu’on ne pourrait le croire. Si vous ne connaissez pas encore Benjamin Lavernhe, Le discours va vous permettre de découvrir toute l’étendue de son talent.