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Les petites créatures jaunes de la saga Moi, moche et méchant ont rapidement conquis le cœur des fans ; il était écrit que Les Minions deviendraient les vedettes de leur propre long-métrage d’animation. On est dans la continuité de leurs aventures au coté de Gru si ce n’est qu’il s’agit ici d’un Prequel et nos héros nous prouvent ainsi que leur maladresse ne date pas d’hier.
Sacrée performance pour la 4ème réalisation de notre pote Sebastian Schipper et surtout pour celle des interprètes. Victoria a en effet été tourné en un unique plan séquence et cela est d’autant plus admirable que cela s’étend sur pas moins de 2H14 ! A la vue de cette durée conséquente, en tant que spectateur on pouvait craindre de finir par décrocher mais c’est nullement le cas ici.
Il y a eu un premier épisode sympa avec un casting solide mais depuis la qualité ne cesse de décroitre. Ce n’est pas avec S.W.A.T. : Under Siege que la tendance va changer car il peine ne serait-ce qu’à nous divertir. On déplore d’abord un scénario totalement expédié mettant en lumière le champion d’arts martiaux Michael Jai White. A travers certaines scènes de combat, il a ainsi l’occasion de faire une démonstration de ses points forts outre l’utilisation d’une mitrailleuse rotative.
Le premier épisode m’avait déjà laissé de glace, cette suite est dans le même registre. Steven Soderbergh délaisse la réalisation au profit de Gregory Jacobs et nous voilà embarqué pour un road-trip entrecoupé de danses lascives à fortes connotations sexuelles. En dehors de ça, l’intérêt s’effeuille rapidement d’autant plus que le show final est assez décevant ; on appréciera toutefois la petite apparition de la toujours très belle Andie McDowell.
Parce qu’il faut parfois faire plaisir aux femmes (Comment ? Oui et aussi à quelques hommes), Magic Mike va vous permettre d’admirer les attributs de Tatum, McConaughey et consorts. L’idée de voir des mecs s’effeuiller est certainement loin d’émoustiller tout le monde mais il faut savoir que le scénario s’inspire du passé de l’acteur principal. Il sera peut-être difficile de le croire mais c’est bien le renommé Steven Soderbergh qui se trouve derrière la caméra.
Héroïne d’un jeu vidéo qui a vu le jour en 2009, cette sorcière qui possède de nombreux atouts (je parle bien sûr de ses flingues) a connu un beau succès auprès du public. Pas étonnant donc qu’un film d’animation lui soit consacré avec ce Bayonetta : Bloody Fate qui reprend parfaitement les éléments caractéristiques du jeu. Des monstres gigantesques, des sorcières sexy en diable et de l’action à foison ; c’est un programme qu’on pourrait croire alléchant.
Après avoir torturé la famille Lambert sur 2 volets, voilà que la saga se transforme en une trilogie mais nous offre ici un prequel. On dit au revoir à Rose Byrne & Patrick Wilson mais on retrouvera tout de même les personnages d’Elise Rainier ainsi que ses acolytes Specs & Tucker (oui je sais difficile de cacher notre joie).
Insidious c’était un petit budget mais qui a rencontré un beau succès ce qui justifie ce nouvel épisode toujours confié aux bons soins de James Wan. Suite directe, Insidious : Chapitre 2 peut déjà compter sur la même équipe d’acteurs et j’ai envie de dire sur une recette elle aussi identique. Il est encore question de malédiction, on a toujours les mêmes phénomènes paranormaux qui essayeront tant bien que mal de vous faire sursauter.
Les zombies font du ski, oui c’est juste en lisant ce titre génial que j’ai eu envie de découvrir ce film ! Ce petit bijou cinématographique nous vient tout droit d’Autriche et transpose ainsi l’univers des morts-vivants aux sports d’hiver. Comme on pouvait malheureusement s’y attendre, la comédie ne va pas plus loin que son idée de départ. Les différents personnages ne sont là que pour servir de chair à zombies et les bonnes idées se comptent sur les doigts d’une main à deux doigts.
La bonne vieille maison hantée semble faire toujours recette dans les salles obscures à en croire cet énième film d’épouvante. Ils entendent des voix, font face à des apparitions inopinées et sont témoins de phénomènes étranges bref tout est bon pour nous faire sursauter. Jusque là, rien de bien nouveau et puis Insidious bascule dans sa seconde partie en un délire mystique faisant surgir un monde parallèle appelé le Lointain.