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Après un Bachelorette qui est loin d’avoir marqué les esprits, la réalisatrice Leslye Headland revient avec une nouvelle comédie dont le scénario fait penser à Sex friends ou Sexe entre amis. Heureusement pour le spectateur, Jamais entre amis se révèle être un peu plus intéressant et cela il le doit surtout pour ces 2 héros hauts en couleurs.
Du baseball oui mais il y a aussi des zombies, des joueurs robotisés, un mec qui ne cesse de rajeunir ou encore une mamounette très effrayante ! Autant vous prévenir que si vous n’appréciez pas le caractère souvent loufoque des japonais, vous pouvez d’ores et déjà passer votre chemin.
La Coupe du monde de football féminin en France c’était en 2019 et cela n’a pas manqué de créer une certaine émulation dans notre pays. On retrouve Une belle équipe aussi bien sur les pelouses que dans ce joli casting mené par Céline Sallette & Kad Merad. Alors oui c’est un match ou plutôt devrais-je dire un film joué d’avance. Dès les premières lignes de l’histoire, on sait vers quel terrain il veut nous emmener et certains personnages comme Mimil versent dans le caricatural.
A vouloir cacher la vérité, ça se retourne un jour ou l’autre contre vous ! Indéniablement, nos yeux seront braqués sur Mathilde Bisson ; personnage envoûtant à la beauté incandescente mais aussi difficile à cerner.
Quand on pense à la combinaison Humour & Zombies, on ne peut s’empêcher de penser à Shaun of the dead. On peut d’ailleurs se demander si le personnage de Dave ne n’inspire pas directement de celui incarné par Simon Pegg tant leurs points communs sont flagrants. Pas étonnant alors que cet oncle totalement irresponsable soit le détonateur de nombreux rires que ce soit avec le jeune et candide Felix ou la lumineuse Miss Caroline alias Lupita Nyong’o.
Inspirée par la véritable histoire de Florence Foster Jenkins, ce film de Xavier Giannoli donne ainsi l’occasion d’une rencontre avec une artiste hors du commun qui chante … horriblement faux ! On ne peut pas résister à la voix stridente de Marguerite mais aussi à l’innocence qui se dégage de cette femme.
Quand arrive le mois de Mai, Hoagie, Chili, Sable, Bob & Jerry (Ed Helms, Jake Johnson, Hannibal Buress, Jon Hamm & Jeremy Renner) sont sur le qui-vive. C’est à cette période de l’année que cette bande de potes d’enfance perpétue une vieille tradition en jouant à … Chat ! A ce jeu, le champion incontesté est Jerry qui n’a jamais été touché de sa vie et il pourrait conserver son invincibilité car il veut quitter ce jeu. Pour Hoagie et ses amis, ce serait donc la dernière chance de l’avoir d’autant plus qu’ils vont avoir une occasion en or vu qu’il va prochainement se marier ! Ils vont donc tout faire pour le piéger mais on apprend pas au vieux singe à faire la grimace et le futur marié se montre toujours aussi habile pour déjouer leurs plans.
De prime abord, on pourrait s’étonner de voir qu’un simple jeu d’enfant comme Chat se retrouve à faire l’objet d’un film mais il y a en fait toute une histoire derrière ça. Tag s’inspire en effet de la véritable expérience d’une bande de potes qui ont su garder leur âme d’enfant et qui vont user de tous les subterfuges pour gagner ! Déguisement, course-poursuite sur un terrain de golf ou encore irruption en pleine cérémonie de mariage ; tout est bon pour nous faire rire. Une compétition qui prend une autre dimension à travers le personnage de Jerry alias Jeremy Renner au point qu’on a parfois l’impression de voir Hawkeye en action. On passe un bon moment de récréation devant cette sympathique comédie et la présence de ce joli casting n’y est certainement pas pour rien.
The visit commence comme beaucoup de films d’épouvante-horreur qui plus est adoptant une réalisation en found-footage. A ce moment-là difficile alors de deviner que celui qui se cache derrière la caméra n’est autre que Night Shyamalan, le roi des twists qui n’est pas prêt de lâcher sa couronne.
Pas la peine d’être un grand spécialiste du vélo pour connaître Lance Armstrong qui a fait la une des médias d’abord pour ses performances sportives puis par le scandale du dopage. Stephen Frears revient sur son ascension fulgurante tout comme le fut sa chute ; on y découvre un champion qui aura longtemps vécu dans le déni avant de devenir le héros déchu que l’on connaît aujourd’hui.
Au bout de 30 minutes, je me suis tout de même demandé ce que j’ai bien pu faire pour m’infliger ce film ! Déjà on est pas emballé par l’histoire qui sent le déjà-vu mais difficile de faire autrement puisqu’il s’agit de l’adaptation d’une série de romans écrit par James Patterson. Passe encore ce scénario mais avec Maximum Ride, on n’est pas au bout de nos peines avec des effets spéciaux au rabais couplés à de ridicules scènes d’action.