On l’a découverte dans les aventures de Peter Pan, la Fée clochette s’est affranchie de l’univers de J.M. Barrie pour devenir une héroïne à part entière. Si vous avez des enfants, il y a de fortes chances que vous ayez déjà suivi ses aventures à travers les 2 DVD qui lui avaient été dédiés.
C’est de nouveau un héros de romans qui prend vie à l’écran et l’adaptation n’a pas été confiée à n’importe qui puisque c’est Kenneth Branagh qui s’en charge. Avec Artemis Fowl, on nous offre un voyage en Irlande avec une plongée dans ses légendes et personnages folkloriques.
Première réalisation pour notre pote Jamel Debbouze qui se lance dans l’animation en adaptant un roman signé Roy Lewis. Il est aussi la star à l’écran, une affiche qu’il partage avec le clone de Louis De Funès et de cette association, on s’attendait quand même qu’au niveau de l’humour ça carbure.
Balle perdue débute sur les chapeaux de roue, ça frôle même l’excès de vitesse tant le récit semble expédié dans les 10 premières minutes. Sans compter qu’au fil de l’histoire, on voit que celle-ci est nourrie de facilités (l’évasion du poste de Police) et d’incohérences (Julia n’a pas les clés de ses propres menottes ?).
Diversion est là pour nous vendre du rêve et ça marche plutôt bien avec ces hôtels luxueux, ce match de football américain en tribune VIP ou encore assister aux tours d’essais de Formule 1.
Après avoir mené leurs Croisades, Nick Powell retrouve pour sa seconde réalisation son pote Nicolas Cage pour un joli film d’action de série B. A la lecture du scénario, j’ai été ramené quelques années en arrière avec le souvenir d’un Piège en haute mer sauf qu’on y ajoute ici des animaux tropicaux.
Que le premier d’entre vous qui n’a jamais entendu parler de l’histoire de Cendrillon me jette la première chaussure en verre (ou en vair ?) ! Le géant Disney a ainsi confié au britannique Kenneth Brannagh le soin d’adapter le célèbre conte et on n’a pas lésiné sur les moyens.
C’est bien évidemment la gourmandise qui m’a dirigé vers cette série originale mettant un scène un retraité et un samouraï ; deux personnages qui ne partagent à priori aucun point commun. A l’origine, il y a d’abord le roman Nobushi No Gourmet que l’on doit à l’auteur Masayuki Kusumi qui a aussi été adapté en manga.
: ! Voilà ce qui nous traversait l’esprit lorsque l’annonce d’un film d’animation sur les émojis a été faite. Le résultat final ne nous a pas vraiment fait changer d’avis. Le monde secret des Emojis fait tout de suite penser à Vice Versa, la comparaison n’ira pas beaucoup plus loin.
C’est vrai que cette affreuse famille atypique nous avait manqué puisqu’il faut remonter jusqu’en 1993 pour trouver leurs dernières traces sur le grand écran. Cette fois c’est sous la forme d’un film d’animation qu’on redécouvre les personnages créés par Charles Addams mais c’est loin d’être une réussite.