Les films comiques au cinéma
L’idée est plutôt marrante et Ben Stiller nous a habitué aux fous rires avec ses nombreuses comédies. L’histoire de ce père désorienté laisse vite place à des situations rocambolesques comme le T-Rex qui se comporte comme un toutou ou en voyant une des statues de l’ile de Pâques manger du chewing-gum.
En s’orientant vers la comédie sur les relations amoureuses des adolescents, la réalisatrice Adeline Picault n’a pas choisi la facilité pour son premier long-métrage. Le risque de tomber dans la caricature est grand et d’ailleurs on plonge littéralement dedans avec une première moitié de film affligeante. Le scénario au départ plat comme une planche à pain arrive toutefois à nous surprendre par la suite à travers une demande insolite de Ouassima auprès d’Arthur ou encore la révélation de Guigui.
Et si on s’offrait quelques jours sous le soleil corse avec notre pote Alexandra Lamy ? La réalisatrice Méliane Marcaggi s’offre un cadre idyllique pour son premier long-métrage rythmé par les quiproquos quand arrive à l’écran Miou-Miou. A notre grand regret, Belle-Fille peine à rayonner du point de vue de l’humour.
Tout le monde en rêve mais quand vient l’heure de la retraite la tentation d’aller voir ailleurs est grande ! C’est vrai chez nous mais aussi en Italie comme nous le prouve Citoyens du monde. S’il y est bien question de destinations de rêves, n’espérez pas en voir la couleur au cours du film. On passe plus de temps à voir nos 3 attachants compères partager un bon repas ou apprécier une bonne bouteille de vin.
Ludovik, Mister V, Natoo ; si ces pseudonymes ne vous évoquent rien ce film n’est vraiment pas fait pour vous ! Le manoir rassemble en effet des comédiens particuliers puisque la plupart sont des Youtubeurs réunis à l’initiative de leur collègue Kemar. Une réunion sur le grand écran qui plaira surtout à leurs communautés respectives mais pour les autres spectateurs c’est une autre histoire.
Qui l’eût cru mais il faut remonter jusqu’en 1912 pour connaitre les origines de ce personnage crée par l’auteur allemand Waldemar Bonsels. Sur papier ou sur le petit écran, cette héroïne a bercé et berce encore l’enfance de milliers de spectateurs et cette arrivée au cinéma semble donc naturel.
La rupture, c’est un moment délicat qu’on a tous traversé et si quelqu’un se chargeait de cette épreuve pour vous ? C’est le point de départ de ce premier long-métrage d’Eric Capitaine qui adapte en réalité un court-métrage qu’il a mis en scène dans le passé.
Avant toute chose, il convient de préciser que Charlie Mortdecai doit se regarder avec beaucoup de second degré tant par son histoire que par l’interprétation des acteurs qui n’hésitent pas à surjouer. Le genre de rôle que Johnny Depp maitrise depuis quelques années maintenant et à moins de l’adorer, il faut avouer qu’il ne nous amuse plus vraiment.
Une épicerie clandestine solidaire, une belle brochette de comédiens ; sur le papier Discount semblait ainsi disposer d’un potentiel intéressant. Cependant, on s’aperçoit vite qu’il se dégage du film une drôle d’impression ; on a beaucoup de mal à entrer dans l’histoire car ça sonne assez faux.
On commence avec un couple en crise et puis avec les minutes qui passent, on se retrouve au coeur d’une secte se détendant devant une orgie. The lovebirds nous gratifie pour le moins d’un scénario partant dans tous les sens et il faut bien dire qu’à un moment ça en devient presque ridicule.