Leur consécration est venue d’une simple vidéo postée sur Instagram et voilà désormais Inès Reg & Kevin Debonne vedettes d’un film revenant sur leur histoire d’amour. Ce n’est déjà pas au niveau du scénario que Je te veux, moi non plus va se démarquer ; des potes d’enfance qui se rendent compte qu’ils sont amoureux c’est du réchauffé.
Catégorie : Comédie
Les films comiques au cinéma
Chérie, j’ai rétréci les gosses
Retour en 1989 et donc en pleine enfance pour moi quand j’ai découvert Chérie, j’ai rétréci les gosses. A cette époque, le film vendait du rêve avec ces héros réduits à la taille d’un insecte ; l’entourage prend une tout autre dimension. On n’aura jamais vécu une telle aventure simplement en traversant un jardin où traînent jouets, gâteaux et même des scorpions.
Chérie, nous avons été rétrécis
On a rétréci les enfants, agrandi un bébé ; quelle autre surprise pouvaient nous réserver les Szalinski ? Rétrécissons les parents ! Si on a le plaisir de retrouver Rick Moranis, il est le seul rescapé des aventures précédentes. Chérie, nous avons été rétrécis ne s’est pas beaucoup embarrassé reprenant certaines scènes du premier épisode.
Chérie, j’ai agrandi le bébé
On prend les mêmes et on recommence … ou presque ! C’est ainsi l’occasion de retrouver la famille Szalinski qui décidément ne fait jamais rien comme les autres. Les scénaristes ne se sont pas creusé les méninges bien longtemps ; au lieu de faire rétrécir des enfants on transforme un bébé en géant.
En passant pécho
Commençons par le début, En passant pécho c’est d’abord une web-série (que je ne connaissais pas jusqu’alors) et dont le succès l’a conduit à se décliner à travers ce long-métrage. L’histoire nous amène à suivre 2 dealers qui vont nous faire entrer dans un univers totalement barré. Entre des acteurs qui en font des tonnes, des dialogues débités à 120 à l’heure dans un langage bien fleuri et un humour bas-de-plafond ; cela fait beaucoup à supporter.
Flora & Ulysse
Nom d’un Bagumba ! L’idée de voir les exploits écureuil doté de pouvoirs n’avait rien de très attirant au départ mais quelle belle surprise. Après une petite promotion pour le catalogue Marvel (Merci Disney), on fait la connaissance d’une drôle de jeune fille qui se revendique cynique.
Like a boss
On rejoint 2 potes d’enfance dans leur aventure entrepreneuriale qui vont se voir offrir une opportunité incroyable. Une histoire cousue de fil blanc avec une amitié qui va etre remise en cause et pas besoin d’être devin pour connaitre le dénouement. En passant, on délivre une petite leçon de morale sur le fait que l’argent n’achète pas tout et tout le monde il est heureux.
Toute ressemblance …
C’est un film qui a d’abord attiré les regards puisqu’il s’agit là de la première réalisation de Michel Denisot. Au regard de la carrière de ce dernier, il n’y a rien d’étonnant à découvrir une histoire tournant autour du milieu audiovisuel. Il ne faut d’ailleurs que quelques minutes avant de découvrir toute une succession de guests faisant étalage d’un carnet d’adresses bien rempli.
Mom & Dad
Le film de Brian Taylor part sur une idée percutante ; transformer les parents en psychopathes (certains le sont peut-être déjà…). Un scénario subversif et donc à même de séduire pas mal de spectateurs d’autant plus que le duo Selma Blair / Nicolas Cage montre un bel entrain en figures parentales détraquées.
Plein la vue
C’est d’abord en tant que scénariste que Philippe Lyon s’est illustré avant de tenter cette première aventure à la réalisation. Au vu de son passé, on se montre assez déçu par un scénario assez convenu. Certes, situer l’histoire dans un centre réservé aux aveugles et malvoyants est une belle idée, on est moins séduit devant le profil du duo Dylan / Karim.










