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Signe du progrès, la diffusion massive des technologies a aussi vu l’émergence d’une cybercriminalité à la croissance exponentielle. Michael Mann s’engouffre dans le sujet avec un thriller plutôt malin brisant ainsi l’image qu’on se fait habituellement du Hacker.
Vous allez réfléchir à deux fois avant d’inviter de nouveau vos voisins à dîner ! Duelles c’est d’abord une histoire marquée par une tragédie qui va bouleverser la vie de deux familles jusqu’alors unies. Symbole de cette unité, cette belle maison mitoyenne devient alors le théâtre de rancoeurs, de faux-semblants et de suspicions.
Précisons d’abord que ce film est sorti juste après celui d’Oren Peli, faisant de lui le premier spin-off de la saga. C’est le personnage d’Haruka qui sert de lien et pas de bol, elle rentre au pays avec un souvenir maléfique. Le fait que l’histoire se déroule au Japon n’apporte aucune particularité, Paranormal Activity : Tokyo Night reprend les mêmes éléments que son prédécesseur.
Quel film de malade ! Voilà ma première réaction parce que je peux vous dire que vous allez être confronté de la violence à l’état pur. Disons que si vous êtes du genre à vous sentir mal face à une petite coupure, avec The night comes for us vous allez vite vous retrouver dans un profond coma.
D’abord tourné en couleurs, le réalisateur Stéphane Lafleur a finalement opté pour le noir et blanc pour dresser ce portrait de femme léger et rafraîchissant telle une brise d’été. Tu dors Nicole nous invite ainsi à accompagner les vacances d’une jeune femme tout ce qu’il y a de plus ordinaire même s’il y a quelques curiosités.
Grosse production hongkongaise de 2016, League of gods impressionne avec son casting prestigieux et son déluge d’effets spéciaux . La première demi-heure est d’ailleurs une belle illustration des moyens mis en oeuvre et on se sentirait presque un peu perdu. L’histoire se met ensuite en place et on découvre une galerie de personnages assez insolites.
Les studios Aardman sont de retour avec un personnage dont le succès n’est plus à prouver. On retrouve ces moutons facétieux qui ne manquent pas une occasion de faire craquer le chien Bitzer pour notre plus grand bonheur. La nouveauté nous vient d’une autre planète avec Lu-La, une extra-terrestre qui découvre avec appétit la gastronomie terrienne.
Une histoire qui fait appel aux démons et à de l’exorcisme ; en voilà une belle nouveauté ! Le film de Pearry Reginald Teo partait déjà de loin mais alors quand on ajoute à ça des personnages sans envergure et une réalisation insipide, ça ne peut que se casser la figure. La schizophrénie de Joel donne juste l’occasion de nous abreuver de visions troublées et de quelques apparitions pour tenter vainement de nous faire sursauter du siège.
Si en termes d’animation en images de synthèse on peut difficilement rivaliser avec les grands noms que sont Pixar ou encore Dreamworks, quand on évoque le stop-motion et la pâte à modeler la référence reste le studio Aardman.
Il ne faut pas vraiment vous attendre à un film de danse. Du moins peut-être pas ce qu’on imaginait puisqu’ici ce sont les enfants qui vont briller sur scène avec des performances plutôt proches de la kermesse de l’école. Sofia Carson n’a finalement que peu d’occasions de s’exprimer artistiquement dans son rôle, Feel the beat s’orientant davantage vers la comédie grand public.