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On peut dire que son séjour aux Etats-Unis a été un vrai désastre puisque notre pote Haruka (Noriko Aoyama) rentre chez elle à Tokyo avec les 2 jambes fracturées. Elle a été victime d’un accident et la voilà coincée dans un fauteuil roulant pour au moins 6 mois. Son frère Koichi (Aoi Nakamura) est là pour l’accueillir et va s’occuper d’elle, leur père devant s’envoler pour Singapour pour au moins 20 jours. Comme d’habitude, frère et soeur aiment se chamailler mais au cours d’un repas, Haruka parle d’une chose étrange ; son fauteuil roulant semble s’être déplacé tout seul durant la nuit. Koichi ne manque pas l’occasion de l’effrayer en parlant de la présence d’un esprit dans la chambre et il n’a pas tort …
Précisons d’abord que ce film est sorti juste après celui d’Oren Peli, faisant de lui le premier spin-off de la saga. C’est le personnage d’Haruka qui sert de lien et pas de bol, elle rentre au pays avec un souvenir maléfique. Le fait que l’histoire se déroule au Japon n’apporte aucune particularité, Paranormal Activity : Tokyo Night reprend les mêmes éléments que son prédécesseur. Ah si, à un moment il y a 2 caméras à l’écran et ça change … ba rien du tout ! Entre deux repas de nos victimes, on tremble de peur devant un tas de sel qui s’éparpille, une couverture tirée ou encore des cadres photos qui se brisent. Un épisode à l’image de ce que donnera la suite de la saga à savoir largement dispensable.