C’est un retour plus qu’attendu pour les héros de chez Marvel après un premier épisode qui a battu de nombreux records et cette suite tient ses promesses. On appréciera notamment le soin apporté par Joss Whedon à développer les personnages secondaires que sont la Veuve noire, Hulk & Hawkeye qui n’ont pas l’occasion de s’éclater dans des aventures solos. Avengers : L’ère d’Ultron est un blockbuster avec ce que cela implique à savoir de l’action en pagaille, des super pouvoirs à gogo et une bonne dose d’humour nécessaire pour contenter tout le monde.
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Le trou Normand
S’il n’y avait pas un Bourvil comme à l’accoutumée attachant et une certaine Brigitte Bardot dans son tout premier rôle, il n’est pas sûr que Le trou Normand, sorti en 1952, retienne autant notre attention. Ce film de Jean Boyer dispose pourtant du scénario idéal pour nous faire rire en propulsant un trentenaire sur les bancs de l’école mais l’humour semble lui avoir séché les cours.
Paradox
Entre deux volets de Ip Man, le réalisateur Wilson Yip nous propose un crochet vers la Thaïlande avec un film bien musclé. Le scénario rappelle l’intrigue d’un Taken mais les comparaisons s’arrêtent là car le duo de flics incarné par Louis Koo & Yue Wu se montre beaucoup plus percutant. Les scènes d’action sont grandioses et la présence du maître chorégraphe Sammo Hung à la manoeuvre n’y est pas pour rien.
Naruto The last, le film
On tient là le 10ème film inspiré du héros de Masashi Kishimoto mais c’est le premier qui a droit à une sortie sur grand écran en France. Pour les néophytes, il sera assez difficile d’aborder Naruto The last, le film puisqu’il se focalise essentiellement sur le couple Hinata / Naruto revenant sur quelques moments clés du manga. Graphismes et animation sont de bonne facture toutefois on était en droit d’attendre plus pour une version destinée au cinéma ceci d’autant plus que le rythme est haché.
Broadway therapy
Sous la forme d’un film choral, ce Broadway therapy vous fera sans doute penser au cinéma de Woody Allen. Le réalisateur Peter Bogdanovich entend surtout rendre un hommage au Screwball comedy, genre populaire dans les États-Unis des années 1930-40 ce qui nous donne un film bien dynamique. Une galerie de personnages hauts en couleur, des situations rocambolesques voire improbables tout cela sans temps mort s’il vous plait.
Trauma Center
C’est une évidence, la carrière de notre pote Bruce Willis va vers sa fin et elle risque de se précipiter si il continue à accepter ce genre de films. On s’imagine que l’acteur va enfiler son marcel blanc et s’offrir quelques scènes d’action, vous avez tout faux ! L’héroïne de Trauma Center c’est Nicky Whelan, une MacGyver qui tient sur une jambe et demie et qui met la misère à ses poursuivants.
Nos femmes
Un succès au théâtre s’accompagne souvent d’une adaptation pour le grand écran et la pièce d’Eric Assous a été confiée à Richard Berry qui, comme Daniel Auteuil, reprend le rôle qu’il tenait sur les planches. Pour les accompagner Thierry Lhermitte s’invite pour une comédie au schéma convenu ; une bande de potes et une réunion qui dégénère en règlements de comptes.
Connasse, Princesse des cœurs
Personnage qui a fait son apparition à la télévision avec des caméras cachées sur Canal +, la Connasse s’émancipe et déboule sur nos grands écrans. Les réalisatrices Eloïse Lang & Noémie Saglio ont gardé le même principe en tissant une histoire et c’est donc sur les terres vierges d’Angleterre que notre héroïne va faire des siennes.
Sword Master
Le réalisateur Derek Yee s’offre un remake du film Death Duel sorti en 1977 et qu’il connaît bien puisqu’il y tenait le premier rôle ! Plus de 40 ans plus tard, ce film d’arts martiaux s’offre une nouvelle jeunesse dopé par un torrent d’effets spéciaux et pas forcément de la meilleure qualité. Les décors n’échappent pas à la règle au point qu’on a parfois la désagréable impression d’être dans un jeu vidéo (Il faut préciser que le film sortait dans les salles en 3D).
Les Optimistes
A moins de ne pas aimer la vie, il est tout de même difficile de rester insensible face à ce documentaire danois qui prouve que l’âge n’est pas une fin en soi. On ne peut qu’être admiratif devant l’énergie déployée par Goro Wergeland qui malgré ses 98 printemps continue de s’éclater avec ses potes d’enfance mais bon ne vous attendez pas à la voir faire un smash. Des grands-mères qui pourraient être les nôtres qui ne se posent pas de questions et profitent simplement de la vie.