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Son plus grand rêve est de devenir Maître des sushis mais notre pote Keiko (Rina Takeda) va rencontrer de nombreux obstacles sur son parcours ! A commencer par son père qui lui a tout appris mais lui reproche son “odeur de femme” altérant le goût des aliments. Vexée par cette réflexion, la jeune femme fugue et le destin va la mener aux portes de l’hôtel Karinoyu. Elle est embauchée comme serveuse mais a du mal à se faire une place à cause de sa maladresse. Keiko devra pourtant se ressaisir car l’établissement accueille d’importants invités de la société Komatsu. Tous l’ignorent encore mais ce séjour va tourner au cauchemar lorsqu’un calamar géant fait son irruption et contamine des sushis qui prennent soudainement vie !
Des sushis tueurs. Voici résumé en quelques mots l’idée de génie proposé par ce long-métrage japonais signé Noboru Iguchi, un habitué des scénarios farfelus. La bonne surprise avec Dead sushi c’est que ça ne s’arrête pas à ce simple concept, le film va chercher des idées assez invraisemblables et ce tout au long de l’histoire. Je ne vais pas tout vous dévoiler mais j’évoquerais un beau moment d’émotion impliquant un sushi à l’omelette qui se met à chanter. Vous aurez compris que ce grand délire est à réserver aux spectateurs qui n’ont pas encore été rassasiés après les tomates tueuses ou la moussaka géante. Ce qui est certain, c’est qu’après cela vous ne mangerez plus les sushis de la même façon !
