(1,5 / 5)
Après avoir déblayé la neige de l’allée de Madame Hess (Marian Seldes), notre pote Alex (Alex D. Linz) s’est vu offrir en récompense une voiture téléguidée. Un jouet qu’elle a obtenu lors d’un récent voyage après avoir récupéré un sac qui ne lui appartenait pas. Cela fait le bonheur du jeune garçon mais mauvaise nouvelle, il découvre qu’il a attrapé la varicelle. Forcé de rester chez lui, il aperçoit des individus suspects dans le voisinage et décide de les surveiller de près. Ce qu’ignore pour le moment Alex c’est que ces personnes sont à la recherche de la voiture qu’il possède puisqu’à l’intérieur se trouve un microprocesseur d’une valeur inestimable !
Après deux films consacrés aux mésaventures de Kevin McCallister, place à Alex Pruitt ! Plus question d’avion ici mais d’un microprocesseur volé par des terroristes qui se retrouve dissimulé dans un jouet, un scénario qui ne trouvera du crédit que chez les enfants de moins de 5 ans. C’est aussi l’âge limite pour apprécier Maman, je m’occupe des méchants puisque le reste de la comédie nous ressert la formule des pièges concoctés par le jeune héros. Les “casseurs flotteurs” n’étaient déjà pas très dégourdis, c’est désormais un quatuor de bras cassés qui leur succèdent. Le film aura au moins permis à Raja Gosnell de signer son premier long-métrage et pour Scarlett Johansson d’étoffer son CV de l’époque !