(2 / 5)
A 22 ans, notre pote Marla (Anya Taylor-Joy) doit faire face à de lourdes responsabilités en veillant sur son petit frère Charlie (Gabriel Bateman). Cela l’a conduit à adopter une attitude un peu trop protectrice au point que le garçon décide un soir de fuguer. Grâce au téléphone portable, elle parvient à le retrouver au coeur de New York dans un salon consacré aux jouets. C’est au milieu d’un décor constitué de Playmobil qu’ont lieu les explications quand soudain une lumière surgit de nulle part. Quand Marla reprend ses esprits, elle s’aperçoit qu’ils ont été transporté dans un autre monde ; celui des Playmobil ! Ah autre détail, Charlie est quant à lui devenu un grand viking blond et barbu.
Les Lego ont été les précurseurs et les Playmobil leur emboîtent logiquement le pas ! On passera rapidement sur un scénario qui, peut-être pour respecter son coeur de cible, semble avoir été écrit par un enfant de CP. Graphiquement, on est assez loin de s’émerveiller devant les aventures de Marla & Charlie en même temps je n’ai jamais été fan de cette gamme de jouets. A ça, il faut ajouter que le spectateur est baladé dans différents univers sans aucune cohérence mais c’est indispensable pour maximiser les ventes de jouets. Pour enfoncer le clou, on aura également droit à une multitude de chansons aux paroles d’une extrême platitude du moins dans la version française. Seul moment plutôt sympa, les scènes avec l’espion Rex Dasher mais à part ça vous pouvez laisser Playmobil, Le film au placard !