(2,5 / 5)
2010. Après un bref temps de paix, la République slave de l’est est de nouveau en proie à la guerre opposant le peuple représenté par les combattants de la liberté et un gouvernement tombé aux mains des oligarques. Une rumeur fait état de l’utilisation d’armes biologiques et c’est ce qui inquiète les forces américaines qui ont décidé d’envoyer un de leurs agents. Il aurait préféré rester en vacances mais Leon S. Kennedy n’a pas vraiment eu le choix et va devoir mener son enquête. Il n’aura pas beaucoup de soutien puisqu’à peine a-t-il posé le pied sur ce territoire qu’il apprend le retrait total des Etats-Unis. Très vite, il aura la confirmation qu’il se trame quelque chose d’étrange et va faire la connaissance de Buddy & JD, deux combattants indépendants.
Chez Capcom, quand on tient une bonne licence, il faut l’exploiter à fond et ce ne sont pas les fans de Street Fighter qui diront le contraire ! L’histoire de Resident Evil : Damnation nous conduit hors de Racoon City, ce qui est plutôt appréciable tout comme ces images de synthèse de meilleure qualité (on est 4 ans après Resident Evil : Degeneration). Du côté du casting, on retrouve Leon S. Kennedy qui va avoir l’occasion de croiser une vieille connaissance en la personne d’Ada Wong. Si l’intrigue est loin de se montrer palpitante, le film se montre plutôt généreux en matière d’action avec les apparitions des Lickers et du Tyrant. Il y a du mieux dans cette saga mais ça reste toujours de l’ordre de l’anecdotique sauf si vous êtes vraiment en manque.