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Un terrible drame a frappé Yakov Ronen (Dave Davis). Afin de surmonter cette épreuve, il est suivi par un médecin et doit suivre un traitement qui s’avère assez coûteux ce qui n’arrange pas ses affaires. Il ne pouvait donc pas refuser l’offre de son pote Reb Shulem (Menashe Lustig) qui lui propose de se faire 400 dollars pour un travail assez particulier. Yakov va endosser le role de Shomer c’est-à-dire qu’il doit veiller auprès d’une personne récemment décédée. Il se rend ainsi chez Mme Litviak (Lynn Cohen) qui vient de perdre son mari et Yakov n’est pas accueilli de la meilleure des manières. Cette nuit s’annonce longue et risque de lui réserver de mauvaises surprises.
Dans ses premiers instants, The vigil réussit à se distinguer grâce au contexte dans laquelle l’histoire se déroule. A travers ce rôle de Shomer, c’est la découverte d’une tradition funéraire juive qui va servir de terreau à une histoire censée nous terrifier. Cette originalité ne fait pas effet très longtemps puisque se mettent ensuite en place tous les éléments habituels du genre. Une impression de déjà-vu qui laisse même place à de la perplexité quand on considère la façon dont le héros apprend l’existence de la malédiction du Mazik. Même réaction quand on découvre les images revenant sur le passé de Yakov, l’ensemble peine à nous convaincre et pas la peine d’attendre davantage pour enterrer ce film !
