(1,5 / 5)
Il ne fallait pas faire confiance à Bobby (Michael Lawrence Potter) ! Il devait s’occuper de réserver un hôtel au lieu de ça voilà que toute la bande se retrouve à passer la nuit dans un bois autour du feu. Cela ne va pas gâcher les retrouvailles de ces 9 potes d’enfance à la veille d’un grand match de football mais ils sont loin d’imaginer l’horreur qu’ils vont vivre. Durant la nuit, Erin (Liesl Ahlers) va être surprise par la présence de M. Peterson (Sean Cameron Michael), leur ancien professeur. Elle est assommée et à son réveil, elle est de retour au camp où elle découvre le reste de la bande en train de reprendre conscience. Un gaz soporifique a été diffusé et tous se retrouvent avec un étrange gilet qui leur est impossible d’enlever. La partie peut commencer et elle risque d’être explosive !
C’est un nouveau survival qui se présente devant nous avec cette particularité que les participants sont constitués d’une bande de potes. Enfin, l’amitié qui les unit risque évidemment d’en prendre un coup puisque comme dirait Denis Brogniart : il n’en restera qu’un. Dès le départ Triggered se tire une balle dans le pied, on ne nous laisse pas le temps d’apprendre à connaître ces personnages. A peine a-t-on le temps de connaître leurs prénoms que le massacre a déjà commencé et on ne tarde pas à se désintéresser de leur sort. Ceci d’autant plus que l’action se déroule dans des bois nous donnant la désagréable impression de tourner en rond. Le seul truc un peu marrant, ce sont certains dialogues totalement aberrants comme cet échange sur l’herpès pendant qu’on tue une victime !
