Le premier épisode m’avait déjà laissé de glace, cette suite est dans le même registre. Steven Soderbergh délaisse la réalisation au profit de Gregory Jacobs et nous voilà embarqué pour un road-trip entrecoupé de danses lascives à fortes connotations sexuelles. En dehors de ça, l’intérêt s’effeuille rapidement d’autant plus que le show final est assez décevant ; on appréciera toutefois la petite apparition de la toujours très belle Andie McDowell.
Auteur/autrice : cine2909
Kingdom
Vous cherchez la bagarre ? Vous l’avez trouvé ! Série diffusée en 2014 et qui s’est achevée après 40 épisodes répartis en 3 saisons, Kingdom devrait plaire aux amateurs des combats MMA mais pas seulement. C’est à travers les mésaventures de la famille Kulina qu’on découvre l’envers du décor de ce sport particulier ; de l’entraînement quotidien jusqu’à la préparation minutieuse aux matchs. Tout ne se résume pas à la baston, dès le départ on se rend compte que les relations entre chacun des personnages sont complexes et ça ne va pas aller en s’arrangeant.
Magic Mike
Parce qu’il faut parfois faire plaisir aux femmes (Comment ? Oui et aussi à quelques hommes), Magic Mike va vous permettre d’admirer les attributs de Tatum, McConaughey et consorts. L’idée de voir des mecs s’effeuiller est certainement loin d’émoustiller tout le monde mais il faut savoir que le scénario s’inspire du passé de l’acteur principal. Il sera peut-être difficile de le croire mais c’est bien le renommé Steven Soderbergh qui se trouve derrière la caméra.
Bayonetta : Bloody Fate
Héroïne d’un jeu vidéo qui a vu le jour en 2009, cette sorcière qui possède de nombreux atouts (je parle bien sûr de ses flingues) a connu un beau succès auprès du public. Pas étonnant donc qu’un film d’animation lui soit consacré avec ce Bayonetta : Bloody Fate qui reprend parfaitement les éléments caractéristiques du jeu. Des monstres gigantesques, des sorcières sexy en diable et de l’action à foison ; c’est un programme qu’on pourrait croire alléchant.
Insidious : Chapitre 3
Après avoir torturé la famille Lambert sur 2 volets, voilà que la saga se transforme en une trilogie mais nous offre ici un prequel. On dit au revoir à Rose Byrne & Patrick Wilson mais on retrouvera tout de même les personnages d’Elise Rainier ainsi que ses acolytes Specs & Tucker (oui je sais difficile de cacher notre joie).
Insidious : Chapitre 2
Insidious c’était un petit budget mais qui a rencontré un beau succès ce qui justifie ce nouvel épisode toujours confié aux bons soins de James Wan. Suite directe, Insidious : Chapitre 2 peut déjà compter sur la même équipe d’acteurs et j’ai envie de dire sur une recette elle aussi identique. Il est encore question de malédiction, on a toujours les mêmes phénomènes paranormaux qui essayeront tant bien que mal de vous faire sursauter.
Les zombies font du ski
Les zombies font du ski, oui c’est juste en lisant ce titre génial que j’ai eu envie de découvrir ce film ! Ce petit bijou cinématographique nous vient tout droit d’Autriche et transpose ainsi l’univers des morts-vivants aux sports d’hiver. Comme on pouvait malheureusement s’y attendre, la comédie ne va pas plus loin que son idée de départ. Les différents personnages ne sont là que pour servir de chair à zombies et les bonnes idées se comptent sur les doigts d’une main à deux doigts.
Insidious
La bonne vieille maison hantée semble faire toujours recette dans les salles obscures à en croire cet énième film d’épouvante. Ils entendent des voix, font face à des apparitions inopinées et sont témoins de phénomènes étranges bref tout est bon pour nous faire sursauter. Jusque là, rien de bien nouveau et puis Insidious bascule dans sa seconde partie en un délire mystique faisant surgir un monde parallèle appelé le Lointain.
Microbe et Gasoil
Il ne fait jamais les choses comme les autres, on sait qu’avec Michel Gondry on aura forcément des surprises. Retour d’abord sur les bancs de l’école avec les tendres portraits de nos potes Microbe et Gasoil incarnés respectivement par Ange Dargent & Théophile Baquet, un tandem ici en parfaite harmonie.
Un coeur à prendre
Avec des parents qui se sont tous deux illustrés dans la réalisation, il semblait écrit que Hallie Meyers-Shyer suive le même chemin. Elle signe ainsi son premier long-métrage avec Un coeur à prendre, une comédie romantique intéressante dans ses premières minutes qui devient au final bien anecdotique. L’histoire baigne au départ dans l’univers du cinéma, un aspect qui disparaît totalement après cette séance improvisée à la belle étoile.