Pas de repos pour les braves Batman & Nightwing qui vont recevoir l’aide de l’imprévisible Harley Quinn. L’histoire est assez classique avec des vilains menaçant notre belle planète, on est tout de même un peu surpris de découvrir un personnage comme Floronic Man. Il y a aussi de quoi être déboussolé sur certaines scènes comme celle de la Batmobile polluée de flatulences ou encore le passage dans le bar. Un humour assez curieux presque gênant, mieux vaut se contenter des petits clins d’œil qui sont faits à la série des années 1960.
Catégorie : Action
Les films d’action au cinéma
Breaking In
Si vous avez besoin d’inspiration pour mettre en place un système de sécurité dans votre maison, Breaking In est fait pour vous. On ne s’est pas trop embarrassé avec l’écriture du scénario ; Gabrielle Union est enfermée dehors et doit retourner dans une maison protégée comme une forteresse. L’intrigue se résume à se demander si elle réussira à sauver ses enfants, quel suspense insoutenable !
The god of cookery
Quand il est question de bouffe, je ne suis jamais loin et lorsque en plus c’est associé au réalisateur Stephen Chow, la gourmandise n’en est que plus grande ! Mettons les pieds dans le plat ; se lancer dans The god of cookery c’est entrer dans un univers particulier rythmé par un humour absurde. Pas d’étonnement donc à voir une boulette tellement élastique qu’elle sert à jouer au ping-pong ou d’atterrir au cœur d’un monastère avec 18 moines de bronze Shaolin.
Dracula Untold
Les films de vampires auront beau se multiplier comme des petits pains, le plus célèbre et populaire restera à jamais Dracula. Le réalisateur débutant Gary Shore se met donc en tête de nous raconter ses origines à travers l’incarnation de Luke Evans. C’est une idée qui en vaut une autre mais Dracula Untold privilégie l’action agrémentée de quelques effets spéciaux et le vampire n’y va pas de main morte quand il s’agit de faire couler le sang toutefois l’ensemble reste assez quelconque.
Kingsman : Le Cercle d’or
Il nous avait mis une sacrée claque avec le premier épisode et on n’avait qu’une seule envie : tendre l’autre joue ! Le réalisateur Matthew Vaughn est de retour toujours accompagné de Taron Egerton qui va partir à la découverte de ses cousins américains. On retrouve vite l’esprit décalé de l’univers avec des robots, un concert d’Elton John et bien sûr des scènes d’action démentes.
Coffee & Kareem
Après Stuber, le réalisateur Michael Dowse fait son retour avec un nouveau duo improbable. Place maintenant à Ed Helms en guise de flic gaffeur et surtout du jeune Terrence Little Gardenhigh. Il sera difficile de passer à côté de ce dernier vu la caricature du gangster qu’il propose avec son attitude “ agressive & gay ”.
Code 8
Avec Code 8, le réalisateur Jeff Chan se voit offrir la chance de développer un univers qu’il avait d’abord introduit dans un court-métrage. Sur le plan scénaristique, rien de nouveau à l’horizon avec des individus possédant des pouvoirs et qui sont de ce fait rejetés de la société. Les scènes d’action n’ont rien de démentielles, les quelques manifestations de pouvoirs se font à travers l’apparition d’électricité ou de télékinésie.
Fury
Parce qu’il ne faut pas résumer la participation américaine durant la Seconde Guerre Mondiale au célèbre débarquement en Normandie voilà qu’arrive Fury. On nous entraine ainsi à bord du blindé en compagnie de Brad Pitt et consorts avec lesquels on devient les témoins de toute l’horreur de cette guerre.
The november man
A défaut de pouvoir réendosser les habits de l’espion de Sa majesté, Pierce Brosnan revient tout de même à l’action avec The november man. Même si le film est loin de se montrer flamboyant sur ses phases d’action, ça reste assez efficace pour satisfaire le spectateur. Là où on est bien moins enthousiasmé, c’est concernant un scénario qui aurait grandement gagné à offrir plus de clarté.
Blade : Trinity
Comme on dit “Jamais 2 sans 3 ” et c’est ainsi que notre pote Wesley Snipes endosse de nouveau sa veste en cuir pour botter les fesses des vampires. Jusqu’à présent scénariste attitré de la saga, David S. Goyer s’offre le luxe de conclure les aventures de notre chasseur nocturne en tant que réalisateur.