A Night of Horror: Nightmare Radio a plusieurs particularités. Il s’agit d’abord d’un film à sketchs sur le thème de l’horreur mais les différentes œuvres qui la composent avaient déjà été diffusées dans divers festivals. Le projet de les réunir est louable mais constitue aussi un handicap pour nous proposer une histoire cohérente même si l’idée de cette émission de radio est plutôt bien pensée.
Catégorie : Fantastique
les films fantastiques au cinéma
Hellboy
Si pendant longtemps on a pu espérer que Guillermo Del Toro allait conclure les aventures d’Hellboy avec une trilogie, l’annonce du reboot a anéanti tous les espoirs. C’est au réalisateur Neil Marshall qu’incombe la lourde tâche de lui succéder et à David Harbour d’endosser les cornes de l’enfer. Un nouveau départ pour la créature née de l’imagination de Mike Mignola qui est loin de nous convaincre.
Mon inconnue
D’entrée de jeu, on est cueilli ! La séquence d’introduction est une idée originale pour prendre le spectateur à contre-pied et les bonnes surprises ne s’arrêtent pas là. Après l’émouvant Demain tout commence, le réalisateur Hugo Gélin se lance dans une comédie romantique qui, pour notre plus grand bonheur, sort très vite des sentiers battus. Il vient en effet saupoudrer l’histoire d’une touche de fantastique donnant à cette reconquête amoureuse une autre dimension.
Si je reste
Le succès de Si je reste en librairie a conduit le roman de Gayle Forman vers la consécration cinématographique confiée aux bons soins de R.J. Cutler. L’évènement dramatique frappant notre héroïne arrive assez rapidement et laisse ensuite place aux nombreuses séquences de flashback qui vont construire l’histoire.
Jingle Jangle : Un Noël enchanté
Les films de Noël ce n’est pas vraiment ce qui manque sur nos écrans, il est plus rare d’avoir dans le même temps une comédie musicale. On le sait, ça vise un public familial et on ne s’étonne donc pas de se retrouver face à un scénario truffé de facilités et de dialogues parfois bien mièvres (“Croire”, vous allez souvent l’entendre !). Pour faire plaisir aux plus jeunes spectateurs, des personnages animés s’invitent dans l’histoire mais on s’en serait facilement passer.
The god of cookery
Quand il est question de bouffe, je ne suis jamais loin et lorsque en plus c’est associé au réalisateur Stephen Chow, la gourmandise n’en est que plus grande ! Mettons les pieds dans le plat ; se lancer dans The god of cookery c’est entrer dans un univers particulier rythmé par un humour absurde. Pas d’étonnement donc à voir une boulette tellement élastique qu’elle sert à jouer au ping-pong ou d’atterrir au cœur d’un monastère avec 18 moines de bronze Shaolin.
Dracula Untold
Les films de vampires auront beau se multiplier comme des petits pains, le plus célèbre et populaire restera à jamais Dracula. Le réalisateur débutant Gary Shore se met donc en tête de nous raconter ses origines à travers l’incarnation de Luke Evans. C’est une idée qui en vaut une autre mais Dracula Untold privilégie l’action agrémentée de quelques effets spéciaux et le vampire n’y va pas de main morte quand il s’agit de faire couler le sang toutefois l’ensemble reste assez quelconque.
Horns
En voilà une drôle d’idée que d’aller coller des cornes à notre pote Daniel Radcliffe et on peut dire que c’est ce qui fait tout l’intérêt de ce film adapté du roman de Joe Hill (fils de Stephen King !). Thriller avec des accents fantastiques, les nouvelles capacités du héros offre aussi l’occasion d’insérer un peu d’humour allant parfois jusqu’à des situations cocasses.
Blade : Trinity
Comme on dit “Jamais 2 sans 3 ” et c’est ainsi que notre pote Wesley Snipes endosse de nouveau sa veste en cuir pour botter les fesses des vampires. Jusqu’à présent scénariste attitré de la saga, David S. Goyer s’offre le luxe de conclure les aventures de notre chasseur nocturne en tant que réalisateur.
Blade II
Pour tout vous dire, j’ai été surpris de voir que ce Blade II relevait de manière significative le niveau par rapport à son prédécesseur. Il y a avait un détail que j’avais totalement zappé en revoyant ce film c’est que derrière la caméra se trouve un certain Guillermo Del Toro et c’est une chose qu’on remarque à l’écran.