Parce que Noël reste avant tout la fête familiale par excellence, cette comédie se veut elle aussi grand public. Cela se traduit par un scénario simpliste pour les uns, consternant pour les autres et bien évidemment sans surprises dans son déroulement.
Catégorie : Le Cinéma à la fiche
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Exodus : Gods and kings
Retour au Péplum pour notre pote Ridley Scott 14 ans après son Gladiator et cette fois il adapte un chapitre important de la Bible en revenant sur la vie du prophète Moïse. Niveau spectacle Exodus : Gods and kings se montre généreux avec nous avec des décors alternant entre le superbe et le grandiose renforcés par des effets spéciaux donnant ainsi des scènes impressionnantes.
Whiplash
Voilà un film qui donne une toute autre vision des batteurs ! Si la bande-originale (qui va certainement faire l’objet de nombreux téléchargements) est assurément le principal point fort de Whiplash, il ne faudrait pas non plus oublier J.K. Simmons qui se lâche totalement dans son rôle à travers ses (nombreux) coups de gueule.
Captives
Si le sujet abordé nous évoque le Prisoners de Denis Villeneuve, le réalisateur canadien Atom Egoyan offre un tout autre déroulement à cette affaire d’enlèvement d’enfant. Usant ellipses et flashbacks, l’histoire se dévoile à nous avec une certaine confusion contribuant également à ôter toute tension à Captives.
Qui veut la peau de Roger Rabbit ?
Vous qui avez pendant votre enfance (et peut-être encore maintenant ?) dormi avec votre peluche Mickey et/ou Minnie, qui passiez des heures devant les aventures de Titi & Gros minet ; n’avez-vous jamais rêvé d’entrer dans leurs univers ? C’est chose faite avec Qui veut la peau de Roger Rabbit ?
Cours sans te retourner
Ce long-métrage revient sur la courageuse aventure de notre pote Yoram Fridman, rescapé de la Seconde Guerre Mondiale. Même si la réalisation tente dans un premier temps de briser la linéarité de l’histoire en faisant intervenir des rémanences du passé, elle redevient rapidement très classique.
Une heure de tranquillité
Après la pièce de théâtre, l’évolution naturelle a porté Une heure de tranquillité à s’inviter au cinéma sous la direction de Patrice Leconte. Dans la peau de notre mélomane en quête de sérénité, on retrouve un Christian Clavier qui comme souvent fait dans l’excès.
Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary
Sa première réalisation Tout en haut du monde avait laissé entrevoir son talent, l’heure de la confirmation est venue pour Rémi Chayé ! C’est une invitation à l’aventure qui nous est proposé ici ; à travers l’héroïne principale on découvre un fascinant Far West. On se laisse absorber par les magnifiques décors pareils à des peintures et le reste se montre tout aussi séduisant.
Sole
C’est avec un sujet fort, le trafic d’enfants, que le réalisateur italien Carlo Sironi signe son premier long-métrage. Sole se caractérise d’abord par son rythme très lent ainsi qu’une mise en scène faisant ressortir les couleurs froides. Tout repose sur la relation qui va naître entre les personnages incarnés par Sandra Drzymalska & Claudio Segaluscio et c’est là le souci.
Mine de rien
Au nord, c’était les corons et ce sont aussi les parcs d’attractions ! Pour sa première réalisation Mathias Mlekuz s’aventure dans une comédie sociale mettant en lumière les difficultés de la région liées au chômage. Si Mine de rien s’offre un sympathique casting (avec un vrai plaisir d’y retrouver Cyril Aubin) dans son ensemble, cela ne permet pas pour autant à sa galerie de personnages de se distinguer.