Les évènements qui se sont déroulés en cette année 2020 prouvent qu’il reste encore bien des combats à mener. Un sujet sensible que Jean-Pascal Zadi et son co-réalisateur John Wax abordent sous l’angle d’une comédie particulière adoptant la forme d’un faux documentaire.
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Les chevaliers du zodiaque – La légende du Sanctuaire
Après avoir redonné vie au corsaire de l’espace Albator, les studios japonais de la Toei Animation relancent maintenant la célèbre œuvre de Masami Kurumada. Le passage aux images de synthèse s’accompagne d’un gros choc pour les puristes car les héros tout comme le design de leurs armures ont subi un sacré lifting.
Mon Ninja et moi
A la vue de l’affiche, on s’attendait à voir un film d’animation assez ordinaire destiné à nos chers bambins et c’est une erreur. Les premiers instants donnent le ton avec une scène où la violence, même si elle n’est que suggérée, frappe en plein coeur. Rassurez-vous, la suite de l’histoire se montre plus légère bien que ponctuée de quelques grossièretés. Mon ninja et moi se révèle donc assez surprenant et ne se destine pas aux jeunes spectateurs mais clairement à un public averti.
Gus petit oiseau, grand voyage
Film d’animation franco-belge, visuellement Gus petit oiseau, grand voyage évoque un peu les Drôles d’oiseaux de chez Triggerfish Animation. On a donc des graphismes qui sont dans l’ensemble plutôt plaisants même si on ne va pas s’émerveiller devant l’écran comme on le ferait pour les grands studios.
The Invincible Dragon
Dans les premières minutes, tu te dis que ça va être assez barré lorsque notre héros se met à raconter l’histoire de son tatouage et sa rencontre avec un dragon à 9 têtes. La suite ne nous donne pas tout à fait raison puisque The Invincible Dragon nous propose une histoire basique qui se dévoile de façon parfois maladroite.
Les jours venus
Voilà un film très décalé de la part de notre pote Romain Goupil où fiction et réalité s’enchevêtrent. Ceci est d’autant plus vrai que Les jours venus présentent également des images très intimes du réalisateur puisque issues de vidéos provenant de son passé à Sarajevo.
Yakari, le film
C’est un personnage qui n’est plus tout jeune puisqu’il faut remonter en 1969 pour voir surgir Yakari de l’imagination du duo Derib & Job. Succès en bande dessinée, il s’est aussi invité sur le petit écran à travers deux séries animées dont l’une réalisée par Xavier Giacometti que l’on retrouve aux manettes de Yakari, le film.
Le prix à payer
Inspiré d’un livre écrit par Brigitte Alepin, ce documentaire réalisé par Harold Crooks pointe du doigt le phénomène d’évitement fiscal et ses répercussions sur la vie citoyenne. L’argumentation présentée par Le prix à payer se construit à travers divers témoignages de la part d’acteurs à la fois économique, politique ou tout simplement citoyen.
Un fils
C’est un sacré contraste de découvrir les premières minutes puis d’assister à la désagrégation d’un bonheur familial qui ne tient plus qu’à Un fils. L’histoire débute par un drame qui va en révéler un autre et mettre alors en lumière un excellent duo d’acteurs. Si on connaît déjà bien le talent de Sami Bouajila, ce sera pour de nombreux spectateurs, comme pour moi, l’occasion de découvrir celui de Najla Ben Abdallah.
Quatre mariages et un enterrement
Plus de 20 ans plus tard, c’est Mindy Kaling, l’héroïne de The Mindy project, qui nous offre sa version avec cette série déclinée en 10 épisodes. Pas de grandes surprises, on retrouve la recette dispensée par le film original à savoir de la romance, de l’humour et une pointe de drame.