Si vous vous apprêtez à devenir parents, vous devriez peut-être passer votre chemin. On est bien loin de l’enfant sage comme une image ; avec Benni c’est plutôt un tempérament explosif pouvant se manifester jusqu’à des violences physiques. La petite fille n’en est pas moins attachante lorsqu’on considère le contexte familial et le sentiment d’abandon éprouvé.
On dit qu’il s’agit du meilleur ami de l’homme mais chaque année, il continue à être abandonné. Voici une triste réalité qui est le point de départ de ce film d’animation qui nous vient droit de Corée du Sud et qui nous invite à l’aventure avec ce sympathique groupe de chiens. Techniquement, Nous, les chiens propose des personnages en 3D évoluant dans des décors en 2D qui m’ont toutefois paru un peu vides même si le résultat final reste séduisant.
Elles sont de retour, les Bellas remontent sur scène ! Troisième épisode dont la réalisation est cette fois confiée à Trish Sie qui s’était illustrée avec le spectaculaire Sexy Dance 5 – All in Vegas. On passera rapidement sur un scénario qui promettait un voyage en Europe dont on ne voit finalement pas grand chose.
Associé à Philippe Lacheau lors des 2 volets de Baby-Sitting, notre pote Nicolas Benamou retourne à la réalisation en solo à travers une nouvelle comédie. Une voiture inarrêtable lancée sur l’autoroute ; on est lancé À fond dans un scénario on ne peut plus simpliste.
Matthew Vaughn aime les comics puisqu’après Kick-Ass etX-Men : Le commencement ; voilà qu’il s’embarque dans l’adaptation de l’œuvre de Mark Millar & Dave Gibbons. De l’action, de l’espionnage, des éclats de violence tout cela enrobé d’une bonne dose de fun ; voilà ce que vous réserve Kingsman : Services Secrets !
Un homme qui devient plus fort au contact de l’eau, non il ne s’agit pas de l’adaptation des aventures de Namor ou d’Aquaman mais c’est un film qui attise forcément la curiosité. A défaut de pouvoir faire vivre à ce personnage atypique de grandes aventures, quelques scènes traitées avec simplicité donnent l’impression d’être tirées en longueur.
Voici le second opus de la trilogie de l’amour initié par Yaron Shani et il est directement lié à Chained. Le film reprend la même histoire en la proposant cette fois du point de vue d’Avigail mais d’autres personnages importants émergent. On découvre ainsi Yael et Na’ama, des soeurs aux relations tumultueuses qui viennent secouer un peu un film, dans sa première partie, très solaire.
Notre pote Quentin Dupieux continue de semer ses drôles de réalisations sur le grand écran et il nous prouve qu’il n’a rien perdu de son esprit tortueux après son Wrong cops qui avait un aspect plus grand public. On est plongé dans un film choral qui vire rapidement à un capharnaüm réjouissant où les rêves de certains personnages viennent s’imbriquer dans la Réalité des autres.
On l’avait découvert en tant que co-réalisateur sur l’excellent Ajami, Yaron Shani se lance maintenant en solo avec un grand projet. Chained est en effet le point de départ d’une trilogie consacrée au thème de l’amour. Avec ce premier volet, on découvre d’abord Rashi, homme bourru mais éperdument amoureux et soucieux de sa belle-fille.
Il s’agit quand même d’un drôle de film que Les merveilles notamment parce qu’on a parfois du mal à suivre son scénario. L’histoire s’amorce avec cette émission de télévision à laquelle cette famille va participer et puis débarque le personnage de Martin qui vient un peu tout chambouler sans que le spectateur ne comprenne vraiment pourquoi.