(3 / 5)
Pretty Woman, c’est un film que notre pote Alex Troffel (Chloé Jouannet) connaît par cœur et elle voue aussi une véritable admiration pour son actrice principale Julia Roberts. Maintenant qu’elle a le bac en poche, elle attend la réponse d’une école de cinéma aux États-Unis car son rêve est de devenir réalisatrice. Les mois passent et Alex n’a pas eu de réponse mais en réalité elle va découvrir que la lettre tant attendue se trouvait dans la boîte à gant de la voiture de sa mère Mathilde (Pascale Arbillot). Persuadée que cette dernière a fait exprès de dissimuler la lettre, la jeune femme ne décolère pas jusqu’au moment où lui vient une idée folle. Elle décide de partir à New-York pour proposer son scénario à Julia Roberts et va embarquer sa tante Juliette (Louise Codelfy) dans cette aventure.
Le sujet de la première réalisation de Noémie Lefort était presque une évidence puisque le scénario proposé dans ce film s’inspire de sa propre histoire. La réalisatrice déclame son amour pour Julia Roberts et nous le fait parfaitement ressentir au fil des minutes.Se glissent ainsi quelques clins d’œil sympathiques comme ce pilote d’avion qui vous sera très familier et d’autres se référant à la filmographie de l’actrice. Pour ne rien gâcher, la comédie est aussi portée par un excellent trio Chloé Jouannet / Pascale Arbillot / Louise Codelfy avec lesquelles on n’a qu’une envie ; les rejoindre pour visiter New York. Mon héroïne a tout du feel-good movie et offre aussi une très belle conclusion ; un bon moment en perspective !