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1928. C’est à l’Université d’Harvard Radcliffe que le professeur William Marston (Luke Evans) enseigne la psychologie. Associé avec sa femme Elizabeth (Rebecca Hall), il mène des recherches et c’est dans ce cadre qu’il recherche actuellement une assistante parmi ses élèves. C’est ainsi qu’Olive Byrne (Bella Heathcote) présente sa candidature et, bien que les premiers échanges avec Elizabeth sont glaciaux, elle rejoint les Marston. Avec le temps, ce trio va apprendre à se connaître et vont s’entendre à merveille jusqu’à se rapprocher sentimentalement. Dans le même temps, William formalise une théorie qu’il a mise au point et il c’est ainsi qu’il donne naissance à un personnage qui portera le nom de Wonder Woman.
Apparue en 1941, Wonder Woman a aujourd’hui largement dépassé le statut de personnage de comic books pour embrasser celui d’icône de la pop culture. My Wonder Women nous donne ainsi l’occasion de revenir sur les origines de sa création et attention ça pourrait en surprendre plus d’un ! C’est que le Professeur William Marston a une vie sentimentale assez dissolue et que cela a fortement influencé les contours de notre héroïne. Un homme qui aura marqué l’histoire à plus d’un titre puisqu’on lui doit aussi l’invention du détecteur de mensonges. Un biopic intéressant à découvrir que l’on soit amateur ou non du personnage de DC Comics et porté par l’excellent trio Bella Heathcote, Rebecca Hall & Luke Evans.