C’est toujours triste une séparation amoureuse. On a d’autant plus mal au cœur quand on sait qu’ils s’étaient partagé une playlist pour leur 4ème anniversaire ! Le point de départ de Quelqu’un de bien c’est donc la rupture d’un couple qu’on va tout de même apprendre à connaître à travers quelques flashbacks. Des souvenirs partagés avec Gina Rodriguez, l’héroïne de la série Jane the Virgin, et ses potes qui vont sécher une journée de boulot pour lui remonter le moral.
Catégorie : Romance
Les films romantiques au cinéma
Mon inconnue
D’entrée de jeu, on est cueilli ! La séquence d’introduction est une idée originale pour prendre le spectateur à contre-pied et les bonnes surprises ne s’arrêtent pas là. Après l’émouvant Demain tout commence, le réalisateur Hugo Gélin se lance dans une comédie romantique qui, pour notre plus grand bonheur, sort très vite des sentiers battus. Il vient en effet saupoudrer l’histoire d’une touche de fantastique donnant à cette reconquête amoureuse une autre dimension.
Last Christmas
Si vous êtes allergiques aux comédies romantiques et à la discographie de Georges Michael, ce film n’est vraiment pas fait pour vous ! Last Christmas c’est d’abord la rencontre amoureuse entre une Kate bien paumée dans sa vie et un Tom qui lui au contraire la croque à pleine dents. Des personnages auxquels on s’attache vite (Emilia Clarke en même temps j’ai du mal à résister…) et dont la relation évolue de façon assez classique jusqu’à ce qu’une surprise vienne bouleverser l’histoire.
Always be my maybe
On la connaît assez peu en France, Ali Wong s’est construit une solide réputation sur les scènes de stand-up américaines. Outre sa présence devant la caméra, elle a aussi participé à l’écriture du scénario de Always be my maybe tout comme son partenaire à l’écran Randall Park. Le duo est sympathique mais n’a rien d’irrésistible à l’image de leur histoire qui est loin de respirer l’originalité.
3 cœurs
Si la ficelle utilisée pour tisser le scénario apparait assez grosse, l’intérêt de 3 cœurs réside surtout dans le trio constitué par Gainsbourg / Mastroianni / Poelvoorde avec une mention pour ce dernier. Il prouve une fois encore que des rôles dramatiques lui siéent à merveille. On est moins enthousiaste avec la réalisation de Benoit Jacquot parfois surprenante avec notamment cette voix off sortie de nulle part et une dernière demi-heure assez ennuyeuse
Le bal de Noël
Des décorations de Noël à n’en plus finir, une famille heureuse et l’amour qui sonne à la porte d’un ancien couple ; comment ne pas avoir les yeux qui brillent avec tout ça ? Ah oui j’oubliais un petit détail, je n’ai plus 5 ans ! Christmas Wonderland remplit le cahier des charges du téléfilm de fin d’année avec son scénario écrit d’avance dans lequel baignent des personnages aussi lisses qu’une boule de décoration.
365 Jours
En voilà un film qui a provoqué des réactions. Si certains spectateurs ont rapidement vu la température monter, d’autres ont surtout été offusqués par son personnage principal. C’est vrai qu’ils ont quand même mis le paquet pour le rendre amoral et sans passer par la case “50 nuances”. Martin est à l’opposé du gendre idéal ; c’est un dangereux mafieux qui ne recule devant rien, capable des pires atrocités.
Le gâteau du bonheur
Parce qu’après quelques épisodes du Miracle de l’amour j’avais besoin de satisfaire ma faim avec Le gâteau du bonheur ! Pendant quelques secondes, il y a eu l’espoir de voir cette pâtissière réaliser des pièces qui auraient au moins pu combler ma gourmandise visuelle. La douche froide arrive vite.
Et (beaucoup) plus si affinités
Soyons objectifs, Et (beaucoup) plus si affinités est une comédie romantique qui ne fait pas preuve d’une grande originalité malgré cela on passe un bon moment. On tombe ainsi sous le charme du couple vedette ; Daniel Radcliffe qui a définitivement laissé tomber ses habits de sorcier et une Zoe Kazan au charme rafraîchissant.
Paradise lost
L’italien Andrea Di Stefano se lance dans la réalisation et avec Paradise lost, il s’offre donc l’opportunité de tirer le portrait du célèbre Pablo Escobar. Trafiquant qui s’est illustré durant les années 1980, on découvre ainsi un homme aux deux visages.