Reconversion professionnelle pour notre pote Jake Gyllenhaal qui décide de s’improviser journaliste et il ne manque pas d’ambitions ! C’est vrai qu’au départ le personnage de Lou Bloom apparait drôlement froid pour le spectateur mais on comprend mieux pourquoi par la suite.
Catégorie : Thriller
Les films thrillers au cinéma
La French
Retour sur la vie du juge Pierre Michel qui aura bouleversé la vie marseillaise de la fin des années 1970 en s’engageant vindicativement dans la lutte contre les trafiquants de drogue. Le réalisateur Cédric Jimenez retrace avec dynamisme cette confrontation historique si bien que les 2H20 filent assez vite.
Captives
Si le sujet abordé nous évoque le Prisoners de Denis Villeneuve, le réalisateur canadien Atom Egoyan offre un tout autre déroulement à cette affaire d’enlèvement d’enfant. Usant ellipses et flashbacks, l’histoire se dévoile à nous avec une certaine confusion contribuant également à ôter toute tension à Captives.
Les apparences
C’est à partir du roman suédois Trahie écrit par Karin Alvtegen que Marc Fitoussi signe cette nouvelle réalisation. On y découvre une histoire d’adultère assez banale si ce n’est que les principaux concernés évoluent dans la bourgeoisie et au coeur de l’Autriche. Cela donne une première partie de film avec un ton assez comique avant de prendre une direction bien plus dramatique.
Dernier train pour Busan
C’est un film qui était à l’époque sorti un peu de nulle part mais depuis on a retenu le nom du réalisateur sud-coréen Yeon Sang-ho. Le scénario de départ ne se montre pas spécialement séduisant ; un train victime d’une invasion de zombies mais à défaut d’originalité le film fait dans l’efficacité. Les scènes d’action sont menées tambour battant et cela donne des plans assez incroyables façon World War Z.
La terre et le sang
Après Braqueurs et Lukas, le réalisateur Julien Leclercq et le comédien Sami Bouajila ne se quittent plus ! Ils célèbrent ainsi leurs retrouvailles dans La terre et le sang, un thriller qui sacrifie son scénario pour laisser place à l’action. Les quinze premières minutes suffisent en effet à comprendre la direction que va prendre l’histoire et il ne faudra pas s’attendre à des surprises.
Cold in July
Adaptation du roman Juillet de sang de Joe R. Lansdale, Cold in July révèle une histoire pleine de tension et qui ne manque pas de rebondissements. Cela est vrai au départ mais le hic c’est qu’à partir d’un moment, les révélations qui nous sont faites deviennent de moins en moins crédibles ce qui rend le film tout de suite moins captivant.
A most violent year
A la tête de A most violent year, nous avons J.C. Chandor qui comme à son habitude signe à la fois le scénario et la réalisation. Si on ne sera pas forcément scotché par son scénario finalement assez banal, on est davantage captivé par cette nouvelle performance d’Oscar Isaac. Il est tout simplement impeccable dans sa panoplie complète du parfait gangster mais qui met (presque) toujours un point d’honneur à rester dans le droit chemin.
Exit
Si vous êtes du genre à piquer une crise quand vous ne voyez pas la lumière du soleil, vous risquez ici l’infarctus ! Avec Exit, on se retrouve dans les profondeurs de la terre et la configuration exiguë des lieux amène vite une angoisse grandissante chez le spectateur. Outre cet aspect de huis-clos, cette première réalisation de Rasmus Kloster Bro se distingue aussi par l’évolution de ces personnages face à une épreuve où leur survie est en jeu.
Peur sur la ville
Les premières notes de la musique composée par un certain Ennio Moriconne nous font immédiatement pénétrer dans l’atmosphère angoissante du film. Visuellement Peur sur la ville a bien pris quelques rides mais sur le fond, ça reste encore un polar de référence en grande partie grâce à la participation de notre cher Jean-Paul Belmondo.