Un voilier et un acteur ; voilà à quoi se résume The boat comme quoi on peut faire du cinéma avec peu de choses ! C’est aussi pour ça qu’on retrouve Joe Azzopardi à la fois comme l’unique personnage de l’histoire mais aussi en tant que co-scénariste avec son frère réalisateur. Cela coule de source mais les dialogues sont bien sûr réduits au strict minimum installant progressivement un climat angoissant et mystérieux.
Catégorie : Thriller
Les films thrillers au cinéma
Le gangster, le flic et l’assassin
Voilà un titre simple, sans fioritures, un peu à l’image d’une intrigue qu’on aurait aimé plus étoffée. Si Le gangster, le flic et l’assassin réussit tout de même à nous accrocher c’est grâce à un personnage en particulier celui incarné par Dong-seok Ma. Au centre de l’histoire, son charisme déborde à l’écran et nous fait un peu oublier son côté caricatural, ce qui n’est pas le cas de ses partenaires.
Sin City
Ce qui saute immédiatement aux yeux ce sont bien sur les images, c’est un réel choc visuel et, cerise sur le gâteau, totalement fidèle à l’œuvre de Frank Miller. D’ailleurs, ce dernier prolongera l’expérience en s’essayant personnellement à la réalisation avec The spirit et puis Sin City laisse un héritage de poids inspirant notamment 300.
Breaking In
Si vous avez besoin d’inspiration pour mettre en place un système de sécurité dans votre maison, Breaking In est fait pour vous. On ne s’est pas trop embarrassé avec l’écriture du scénario ; Gabrielle Union est enfermée dehors et doit retourner dans une maison protégée comme une forteresse. L’intrigue se résume à se demander si elle réussira à sauver ses enfants, quel suspense insoutenable !
Avant d’aller dormir
Adaptation de l’œuvre de l’écrivaine S.J. Watson (et pour une fois j’ai lu le livre), Avant d’aller dormir bénéficie d’une intrigue plutôt forte. Une femme se retrouve avec la mémoire qui flanche et redécouvre donc sa vie ou du moins ce qu’on veut bien lui faire croire. Le film fonctionne sur son trio de personnages et c’est là l’une des faiblesses du film de Rowan Joffe qui ne prend pas le temps nécessaire pour les installer au cœur de l’histoire.
Connectés
Romuald Boulanger, c’est un touche-à-tout et c’est durant le confinement qu’il a eu cette idée pour la réalisation de son premier long-métrage. Avec Connectés, on assiste à la réunion virtuelle d’une bande de potes avec une histoire se dévoilant à travers leurs écrans interposés. C’est là que débarque un inconnu en poncho rouge (avec le masque s’il vous plaît !) qui va semer la zizanie.
Gone girl
Amy Dunne. Retenez bien ce nom car ce personnage va obligatoirement entrer dans l’histoire du Cinéma ! Au départ, Gone girl c’est donc l’adaptation du best seller Les apparences de Gillian Flynn où l’on découvre un fait-divers tristement banal mais qui va prendre une autre dimension.
White Bird
Notre pote Gregg Araki continue son petit bonhomme de chemin et se charge de l’adaptation sur grand écran du roman de Laura Kasischke. Le point de départ est donc la disparition mystérieuse de la mère incarnée par Eva Green et ses répercussions. S’en suit alors un manège incessant entre passé et présent où se dévoilent au compte-gouttes les indices conduisant à cette conclusion.
The november man
A défaut de pouvoir réendosser les habits de l’espion de Sa majesté, Pierce Brosnan revient tout de même à l’action avec The november man. Même si le film est loin de se montrer flamboyant sur ses phases d’action, ça reste assez efficace pour satisfaire le spectateur. Là où on est bien moins enthousiasmé, c’est concernant un scénario qui aurait grandement gagné à offrir plus de clarté.
Paradise lost
L’italien Andrea Di Stefano se lance dans la réalisation et avec Paradise lost, il s’offre donc l’opportunité de tirer le portrait du célèbre Pablo Escobar. Trafiquant qui s’est illustré durant les années 1980, on découvre ainsi un homme aux deux visages.