(2,5 / 5)
Un hélicoptère survole la région de Queretaro au Mexique. A son bord, des soldats prêts à intervenir et parmi eux Chris Redfield qui s’est illustré pour avoir combattu la menace des morts-vivants de Racoon City. Ils ont une double mission, retrouver un agent infiltré Cathy White qui était avec son fils Zack et neutraliser un dangereux trafiquant d’armes bactériologiques du nom de Glenn Arias. Une mission qui va s’avérer être un fiasco total ; seul Chris s’en sort vivant et Arias a réussi à prendre la fuite. Il faudra attendre 4 mois plus tard à Chicago pour revoir le soldat venu à la rescousse du Professeur Rebecca Chambers. Les recherches de cette dernière pourraient contrecarrer les plans d’Arias ce qui explique l’attaque qu’elle a récemment subie.
L’expression “Jamais 2 sans 3” est appliquée ici à double titre puisqu’on retrouve notre pote Leon S. Kennedy mais il aura de la concurrence puisque le véritable héros de l’histoire c’est Chris Redfield ! Une nouvelle fois, le scénario ne fait pas preuve d’une grande inventivité ; un méchant de service et notre pauvre Rebecca Chambers qui doit endosser le role de la femme à sauver. Comme pour les autres épisodes de la saga, l’intérêt de Resident Evil : Vendetta ne tient que grâce à ses phases d’action qui offrent une belle récréation mais ont tout de même la saveur du réchauffé. Une nouvelle aventure qui présente peu d’arguments positifs mais le résultat reste toujours mieux que les adaptations live menées par Paul W. S. Anderson (oui c’est vrai c’était pas difficile).