Voilà un film qui donne une toute autre vision des batteurs ! Si la bande-originale (qui va certainement faire l’objet de nombreux téléchargements) est assurément le principal point fort de Whiplash, il ne faudrait pas non plus oublier J.K. Simmons qui se lâche totalement dans son rôle à travers ses (nombreux) coups de gueule.
Catégorie : Drame
Les films dramatiques au cinéma
Cours sans te retourner
Ce long-métrage revient sur la courageuse aventure de notre pote Yoram Fridman, rescapé de la Seconde Guerre Mondiale. Même si la réalisation tente dans un premier temps de briser la linéarité de l’histoire en faisant intervenir des rémanences du passé, elle redevient rapidement très classique.
Sole
C’est avec un sujet fort, le trafic d’enfants, que le réalisateur italien Carlo Sironi signe son premier long-métrage. Sole se caractérise d’abord par son rythme très lent ainsi qu’une mise en scène faisant ressortir les couleurs froides. Tout repose sur la relation qui va naître entre les personnages incarnés par Sandra Drzymalska & Claudio Segaluscio et c’est là le souci.
Drunk
La consommation quotidienne d’alcool à dose raisonnable pourrait-elle améliorer notre vie ? C’est une véritable théorie développée par le psychologue Finn Skårderud qui a inspiré cette réalisation de Thomas Vinterberg. A travers ce groupe de potes, se met en place une expérience qui va progressivement dévier de son but original.
Pinocchio
Quand Matteo Garrone, le réalisateur de Gomorra se penche sur l’adaptation de Pinocchio on s’attend forcément à une version assez spéciale. Dans sa structure, on n’est pas dépaysé ; on retrouve le parcours initiatique de la marionnette en bois et les enseignements moraux qui en découlent. L’univers proposé par le réalisateur est lui assez particulier ; on est plongé dans des décors sombres et des personnages pour le moins intrigants.
Antebellum
Il y a des films dont on aurait aimé ne pas voir la bande-annonce et en voici un parfait exemple ! Beaucoup trop de choses ont été dévoilées et si vous l’avez vu, vous devinerez assez facilement le chemin où veut nous mener l’histoire. Au-delà de cette surprise ruinée, la réalisation menée conjointement par Gerard Bush & Christopher Renz se montre à certains moments assez bancale.
Josep
Beaucoup, à commencer par moi, se mettront facilement dans la peau de Valentin découvrant cette période méconnue de l’histoire française ainsi que l’artiste Josep Bartolí. En 1939, la Retirada a vu plus de 450 000 espagnols trouver refuge en France dans des conditions misérables. Une terrible réalité qui nous frappe en plein visage lorsque surgissent à l’écran les véritables croquis de l’artiste espagnol.
Terminal Sud
De la filmographie du réalisateur Rabah Ameur-Zaïmeche, je ne connais que Bled Number One qui ne m’avait pas laissé un grand souvenir. C’est un cinéma au rythme assez lent que j’avais du mal à apprécier et Terminal Sud est hélas dans la même veine. On se montre aussi sceptique à la découverte de ce personnage principal qui ne convainc à aucun moment.
Pasolini
Au risque de paraitre inculte (ce qui n’est pas vraiment un scoop), j’ignorais tout de Pier Paolo Pasolini jusqu’à ce film de notre pote Abel Ferrara. La question qui se pose alors est de savoir si connaitre l’œuvre cet artiste italien n’est pas déjà une condition sine qua non pour pouvoir réellement aborder ce « biopic ».
La femme qui s’est enfuie
Jouons tout de suite franc jeu, je n’ai pas compris ce film. Non pas dans l’histoire qu’il nous propose mais plutôt dans l’intention Hong Sang-Soo. Je ne suis pas un familier du réalisateur, je l’avais découvert avec le sympathique Sunhi où déjà sa mise en scène particulière m’avait interpellé. Une recette qu’il reprend avec La femme qui s’est enfuie qui se compose de plans fixes rythmés de zooms grossiers.