Il y a deux choses qui m’attiraient dans ce film ; se replonger dans les rues de la capitale thaïlandaise et revoir notre pote Mark Dacascos. Ce sont peut-être d’ailleurs les seuls arguments de ce film, hélas on n’a pas vraiment l’occasion de découvrir la ville. L’histoire se met doucement en place et les véritables motivations de cet homme nous sont vite exposées mais les choses se gâtent quand surgissent de nouveaux personnages.
Catégorie : Drame
Les films dramatiques au cinéma
The good criminal
Si vous deviez choisir entre 9 millions de dollars ou l’amour, que feriez … hé revenez tout de suite avec cet argent ! Soyons sérieux et parlons de The good criminal mais en même temps, il n’y a pas grand chose à en dire. Du scénario prévisible aux personnages sans intérêt en passant par des phases d’action loin d’être palpitantes, le sentiment de déjà-vu ne nous quitte à aucun instant.
Pistolet
Dès le début, il y a quelque chose qui cloche. Cela commence avec un Flash Forward très mal amené et ce n’est qu’au bout de 5 minutes qu’on comprend pourquoi. Damian Chapa (c’est aussi le mec qui jouait Ken dans le film Street Fighter !) n’a pas vraiment l’intention de rivaliser avec les meilleurs réalisateurs mais avec les pires ! Non, croyez-moi je n’exagère pas car Pistolet c’est un mauvais sketch qui s’étire sur 1H30.
The Pool
Quand vous avez un scénario qui vous propose une piscine vide avec un crocodile, vous plongez la tête la première ! C’est le cinéma thailandais qui nous propose cette expérience et tout au long de l’histoire il est bien difficile d’effacer le sourire de son visage. Une seringue d’insuline pour traiter le diabète de Day posée sur la table, la commande d’une pizza ou un chien attaché ; c’est sans aucune subtilité qu’on découvre les différents éléments qui vont nourrir l’intrigue.
Last Christmas
Si vous êtes allergiques aux comédies romantiques et à la discographie de Georges Michael, ce film n’est vraiment pas fait pour vous ! Last Christmas c’est d’abord la rencontre amoureuse entre une Kate bien paumée dans sa vie et un Tom qui lui au contraire la croque à pleine dents. Des personnages auxquels on s’attache vite (Emilia Clarke en même temps j’ai du mal à résister…) et dont la relation évolue de façon assez classique jusqu’à ce qu’une surprise vienne bouleverser l’histoire.
The boat
Un voilier et un acteur ; voilà à quoi se résume The boat comme quoi on peut faire du cinéma avec peu de choses ! C’est aussi pour ça qu’on retrouve Joe Azzopardi à la fois comme l’unique personnage de l’histoire mais aussi en tant que co-scénariste avec son frère réalisateur. Cela coule de source mais les dialogues sont bien sûr réduits au strict minimum installant progressivement un climat angoissant et mystérieux.
Les recettes du bonheur
La gourmandise aura certainement convaincu beaucoup d’entre nous à jeter un œil à cette comédie mijotée par Lasse Hallström. L’histoire est un prolongement du titre français à savoir que c’est construit autour de bons sentiments, de personnages attachants qui fait que Les recettes du bonheur s’impose vite comme un feel-good movie.
3 cœurs
Si la ficelle utilisée pour tisser le scénario apparait assez grosse, l’intérêt de 3 cœurs réside surtout dans le trio constitué par Gainsbourg / Mastroianni / Poelvoorde avec une mention pour ce dernier. Il prouve une fois encore que des rôles dramatiques lui siéent à merveille. On est moins enthousiaste avec la réalisation de Benoit Jacquot parfois surprenante avec notamment cette voix off sortie de nulle part et une dernière demi-heure assez ennuyeuse
Pride
Après de ce film, un constat s’impose : c’est une histoire tout de même merveilleuse qui méritait vraiment la peine d’être racontée sur le grand écran. Inspiré de faits réels, Pride nous invite ainsi à découvrir le destin commun de 2 mondes totalement différents à savoir les travailleurs et les homosexuels.
Le bal de Noël
Des décorations de Noël à n’en plus finir, une famille heureuse et l’amour qui sonne à la porte d’un ancien couple ; comment ne pas avoir les yeux qui brillent avec tout ça ? Ah oui j’oubliais un petit détail, je n’ai plus 5 ans ! Christmas Wonderland remplit le cahier des charges du téléfilm de fin d’année avec son scénario écrit d’avance dans lequel baignent des personnages aussi lisses qu’une boule de décoration.