Les films dramatiques au cinéma
Il avait débuté sa carrière de réalisateur dans l’animation avec Lego Batman, le film et cette fois notre pote Chris McKay se lance dans le film en prise de vues réelles. Commençons par le scénario qui sent le réchauffé avec une énième menace planétaire pour laquelle on va avoir besoin des courageux américains.
Emerald Fennell signe là sa première réalisation et réussit d’emblée à marquer les esprits. Il y a de la vengeance dans l’air dans Promising Young Woman et elle est parfaitement incarnée par une Carey Mulligan qui crève l’écran. Présentée d’abord en tant que femme vulnérable, son véritable visage se dévoile pour notre plus grand plaisir.Ce personnage de Cassie est fascinant dans la mesure où elle rayonne par la tristesse qu’elle traîne derrière elle rendant presque inévitable une conclusion qui vous fait passer par toutes les émotions.
C’est d’abord sur les planches du théâtre que Le père de Florian Zeller a fait ses débuts suscitant vite des critiques dithyrambiques. L’auteur français se charge lui-même de cette adaptation pour le grand écran, signant par la même occasion sa première réalisation. Toute la force de The father est de parvenir à faire perdre aux spectateurs ses repères nous faisant ainsi ressentir la détresse d’Anthony sans oublier celle de sa fille Anne.
Une fois n’est pas coutume, notre pote Raphaël Jacoulot porte ici aussi bien la casquette de scénariste que celle de réalisateur. L’histoire nous présente un couple cherchant à s’accomplir en devant parents, un désir qu’on va essentiellement découvrir du point de vue du personnage incarné par Jalil Lespert.
Vous aimez la musique country et la guimauve ne vous dérange pas ? Alors voilà un film qui est fait pour vous ! L’histoire est on ne peut plus basique avec une chanteuse en mal de reconnaissance de retour chez elle et d’après vous est-ce qu’elle va finir par connaître le succès ? C’est un suspense insoutenable qui vous tiendra en haleine au moins 1,29 secondes sans compter qu’il y a aussi de la romance dans l’air.
Réalisé par le hongkongais Clarence Fok et sorti en 2001, on se rend vite compte que le poids des années n’a pas épargné ce film. Martial Angels nous invite ainsi à côtoyer des voleuses qui vont devoir reprendre du service face à la menace d’un mafieux russe. Déjà qu’on ne peut pas dire qu’un tel scénario nous vende du rêve, il est en plus de ça combiné à des scènes d’action bien pauvres que ce soit dans le contenu ou dans la mise en scène.
Ils ont maintenant l’habitude de travailler ensemble et voici le troisième film réalisé par Cary Murnion et Jonathan Milott. Le scénario de Becky montre assez peu d’intérêt dans la mesure où tout est téléphoné, la seule curiosité étant qu’il laisse quelques questions en suspens. Coté personnages, là aussi on est en mode automatique à commencer par Dominick représentant le nazi de base avec sa croix gammée tatouée et sortant sa réplique sur la supériorité de sa race.
Peut-être connaissez-vous Balto, le chien héroïque qui s’est révélé lors de cette course au sérum en Alaska en 1925. Un exploit incroyable et magnifique derrière lequel se cache un chien plus méconnu et qui s’avère être le véritable héros ! Ce film entend ainsi rétablir la vérité et surtout consacrer Togo comme il aurait mérité de l’être.
Le film s’ouvre sur le constat d’une fracture générationnelle ; les Millenials souffrent plus que jamais de la société telle qu’elle existe aujourd’hui. Ils sont endettés, éprouvent les pires difficultés à trouver un travail décent ; la seule issue est la rébellion ! C’est dans ce contexte que l’histoire se met en place, hélas les mésaventures de Lance et de ses potes deviennent vite insipides.
Enième film de danse, c’est cette fois le cinéma allemand qui s’essaie à l’exercice. On n’avait pas grand chose à attendre du scénario et cela ne fait que se confirmer au fil des minutes. Une héroïne qui se rédécouvre, des nouveaux potes d’enfance sans oublier une petite romance car la danse rime souvent avec amour.