Le carton de Scream a fait des émules et Souviens-toi… l’été dernier n’a pas hésité à en reprendre la recette. Cela commence d’abord par la présence de Kevin Williamson au scénario (qui l’est aussi pour le film de Wes Craven) adaptant le roman de Lois Duncan. Même stratégie au niveau du casting en faisant appel à Jennifer Love Hewitt & Sarah Michelle Gellar vedettes respectivement des séries La vie à cinq & Buffy contre les vampires
Catégorie : Epouvante-Horreur
Les films d’Epouvante-Horreur au cinéma
Polaroid
On nous a déjà fait le coup avec une cassette ou via l’utilisation des réseaux sociaux alors pourquoi pas un bon vieil appareil photo Polaroid frappé d’une terrible malédiction. Notons que le réalisateur Lars Klevberg, à qui l’on doit Child’s Play: La poupée du mal, adapte en grand format une idée déjà développée avec son propre court-métrage.
Demon baby
Il s’agit là du premier long-métrage pour Corrie Greenop et il faut bien reconnaître que cela se voit. Déjà que ce film dure à peine 1H10, pendant une grande partie il ne se passe rien à part voir le couple passer du temps dans leur véhicule ou vagabonder dans la nature (il y a quand même de beaux paysages).
L’attaque des donuts tueurs
Après s’être offert un petit carpaccio de tomates, avoir dégusté une splendide moussaka ; place à la note sucrée avec L’attaque des donuts tueurs ! On ne peut que saluer la cohérence d’un tel projet cinématographique ; le jeu d’acteur et les effets spéciaux répondent parfaitement à l’ambitieux scénario de ce film.
Open 24 Hours
Le point de départ du film est plutot intéressant ; une jeune femme tente de se reconstruire après une expérience traumatisante. On perçoit une certaine ambiguïté chez Mary qui présente aussi bien le profil de victime que celui de bourreau ou du moins complice de celui-ci. Un trait renforcé par sa schizophrénie et les nombreuses hallucinations dont elle est en proie et il y avait là un vrai potentiel à creuser ce que ne fait hélas pas Open 24 Hours.
Night Shot
Si au premier abord, on pourrait considérer Night Shot comme un énième found footage, il a toutefois le mérite d’avoir été tourné en plan séquence. On aurait plutôt envie d’encourager ce genre d’initiatives dans un cinéma français parfois cloisonné, on ne partage pas le même enthousiasme devant le résultat final. La faute d’abord aux personnages principaux loin d’être crédibles notamment quand on observe leurs réactions face à tout ce qui leur arrive.
Crawl
La belle carrière outre-atlantique d’Alexandre Aja se poursuit et il prouve une nouvelle fois son amour pour les créatures aquatiques. Après le remake de Piranhas, le français offre cette fois Kaya Scodelario & Barry Pepper en guise d’apéritifs à des alligators assoiffés de sang. Si au travers de son déroulement, Crawl ne réussit pas à nous surprendre, il se montre néanmoins d’une efficacité redoutable et ne laisse pas de place à l’ennui.
The Pool
Quand vous avez un scénario qui vous propose une piscine vide avec un crocodile, vous plongez la tête la première ! C’est le cinéma thailandais qui nous propose cette expérience et tout au long de l’histoire il est bien difficile d’effacer le sourire de son visage. Une seringue d’insuline pour traiter le diabète de Day posée sur la table, la commande d’une pizza ou un chien attaché ; c’est sans aucune subtilité qu’on découvre les différents éléments qui vont nourrir l’intrigue.
Warning : Do not play
A la lecture du scénario, il est difficile de ne pas penser au Ring d’Hideo Nakata. Comme dans le film japonais, il est question d’une malédiction liée à un film et bien entendu notre héroïne va se jeter dans la gueule du loup (c’était ça ou direction le Pôle Emploi). Dans la première partie, on se laisse entraîner avec elle dans sa quête avec tout le mystère qui l’entoure.
Once upon a time at christmas
A force de courir aux 4 coins du monde pour distribuer des cadeaux chaque année, le Père Noël a fait son burn-out et ce n’est pas beau à voir ! Once upon a time at christmas va à contre-courant de cette période de joie et de fête en choisissant l’angle de l’horreur. C’est sûr qu’on est totalement épouvanté en regardant ce film ; que ce soit dans la réalisation ou dans le jeu des acteurs le désastre nous est offert avec un joli papier cadeau.