L’expression “Jamais 2 sans 3” est appliquée ici à double titre puisqu’on retrouve une nouvelle fois notre pote Leon S. Kennedy mais il aura de la concurrence puisque le véritable héros de l’histoire c’est Chris Redfield ! Une nouvelle fois, le scénario ne fait pas preuve d’une grande inventivité ; un méchant de service et notre pauvre Rebecca Chambers qui doit endosser le role de la femme à sauver.
Catégorie : Epouvante-Horreur
Les films d’Epouvante-Horreur au cinéma
Resident Evil : Damnation
Chez Capcom, quand on tient une bonne licence, il faut l’exploiter à fond et ce ne sont pas les fans de Street Fighter qui diront le contraire ! L’histoire de Resident Evil : Damnation nous conduit hors de Racoon City, ce qui est plutôt appréciable tout comme ces images de synthèse de meilleure qualité (on est 4 ans après Resident Evil : Degeneration).
Resident Evil : Degeneration
Nous sommes en 2008, en marge de la saga cinématographique initiée par Paul W.S. Anderson l’éditeur Capcom lance ce premier film d’animation mêlant images de synthèse et Motion Capture. En ayant recours à cette technologie, il était inévitable que les graphismes prennent un coup de vieux et certaines cinématiques de nos jeux actuels sont bien meilleures que ce que l’on voit à l’écran.
Hell Baby
Au générique, il y a le duo de réalisateurs et comédiens Thomas Lenon & Robert Ben Garant, deux des créateurs de la série Reno 911, n’appelez pas ! Il n’y a pas de genres plus opposés que la comédie et l’épouvante-horreur, un mariage improbable et donc propice à nous faire marrer. Il y a d’abord un côté décalé amusant avec une Leslie Bibb enceinte braver les interdits ou encore ce duo de prêtres fumer clopes sur clopes et se goinfrer au restaurant.
Dracula Untold
Les films de vampires auront beau se multiplier comme des petits pains, le plus célèbre et populaire restera à jamais Dracula. Le réalisateur débutant Gary Shore se met donc en tête de nous raconter ses origines à travers l’incarnation de Luke Evans. C’est une idée qui en vaut une autre mais Dracula Untold privilégie l’action agrémentée de quelques effets spéciaux et le vampire n’y va pas de main morte quand il s’agit de faire couler le sang toutefois l’ensemble reste assez quelconque.
Friend Request
Vous vous rendez compte où on en est ? Désormais, même les pires malédictions se mettent aux réseaux sociaux (#LaissezMoiTranquille) pour nous atteindre ! Dans un style similaire à Friend Request, on ne peut s’empêcher de penser à Unfriended et autre point commun ; ce sont tous deux des films qu’on va zapper rapidement
Horns
En voilà une drôle d’idée que d’aller coller des cornes à notre pote Daniel Radcliffe et on peut dire que c’est ce qui fait tout l’intérêt de ce film adapté du roman de Joe Hill (fils de Stephen King !). Thriller avec des accents fantastiques, les nouvelles capacités du héros offre aussi l’occasion d’insérer un peu d’humour allant parfois jusqu’à des situations cocasses.
Annabelle
Même s’il n’avait pas laissé une trace indélébile, le Conjuring : Les dossiers Warren de James Wan séduisait par son atmosphère angoissante. C’est là qu’on y a vu pour la première fois la petite frimousse d’Annabelle, poupée maudite qui a désormais droit à son spin-off.
Sea Fever
Ce n’est pas avec ce film qu’on va améliorer la réputation des roux ! Pour son premier long-métrage, la réalisatrice Neasa Hardiman nous embarque en pleine mer où va se manifester une étrange créature. Cette découverte entourée de mystères va avoir des répercussions à bord du Niamh Cinn Óir où apparaissent des suspicions de contamination. Une orientation qui aurait pu être intéressante à condition d’avoir des personnages ayant de l’épaisseur ce qui n’est pas le cas ici
Blade : Trinity
Comme on dit “Jamais 2 sans 3 ” et c’est ainsi que notre pote Wesley Snipes endosse de nouveau sa veste en cuir pour botter les fesses des vampires. Jusqu’à présent scénariste attitré de la saga, David S. Goyer s’offre le luxe de conclure les aventures de notre chasseur nocturne en tant que réalisateur.