C’est un film qui a d’abord attiré les regards puisqu’il s’agit là de la première réalisation de Michel Denisot. Au regard de la carrière de ce dernier, il n’y a rien d’étonnant à découvrir une histoire tournant autour du milieu audiovisuel. Il ne faut d’ailleurs que quelques minutes avant de découvrir toute une succession de guests faisant étalage d’un carnet d’adresses bien rempli.
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3 Billboards : Les Panneaux de la vengeance
C’est en ayant lui-même croisé de tels panneaux que le scénariste et réalisateur Martin McDonagh a imaginé cette histoire. Elle est portée à bout de bras par une Frances McDormand formidable en mère désespérée face à une enquête qui piétine. En marge de cette volonté de justice, 3 Billboards : Les Panneaux de la vengeance réussit à nous surprendre, aussi bien dans le bon que dans le mauvais sens, à travers ses personnages secondaires.
Sentinelle
Après La terre et le sang, l’histoire entre Netflix et Julien Leclercq se poursuit avec ce nouveau film où on peine à reconnaître la patte du réalisateur. On le constate dès la première scène de fusillade d’une platitude sans nom et ça ne va pas aller en s’arrangeant. Les phases d’action sont assez maigres ; le spectateur doit se contenter d’une petite baston à l’hôpital et d’un final bien terne.
Mom & Dad
Le film de Brian Taylor part sur une idée percutante ; transformer les parents en psychopathes (certains le sont peut-être déjà…). Un scénario subversif et donc à même de séduire pas mal de spectateurs d’autant plus que le duo Selma Blair / Nicolas Cage montre un bel entrain en figures parentales détraquées.
Let’s be evil
On ne ressort pas indemne de ce film. Oui, parce qu’il faut déjà une sacrée volonté pour aller jusqu’au bout bien qu’il ne dure qu’un peu plus d’1H20. Le principe de Let’s be evil est assez simple ; il donne l’opportunité au spectateur de vivre l’histoire comme s’il portait ces fameuses lunettes à réalité augmentée.
Goldorak au cinéma
Le titre fait rêver tous les fans du robot de Gō Nagai mais la réalité est que Goldorak au cinéma n’est pas véritablement un film. Retour en 1979, le succès de la série animée est telle qu’émerge l’idée de prolonger l’aventure sur le grand écran avec le merchandising et les profits qui vont avec. C’est donc en piochant 5 épisodes, en faisant un petit montage accompagné d’un nouveau doublage qu’on obtient ce soi-disant long métrage !
Plein la vue
C’est d’abord en tant que scénariste que Philippe Lyon s’est illustré avant de tenter cette première aventure à la réalisation. Au vu de son passé, on se montre assez déçu par un scénario assez convenu. Certes, situer l’histoire dans un centre réservé aux aveugles et malvoyants est une belle idée, on est moins séduit devant le profil du duo Dylan / Karim.
Love and Monsters
Etes-vous prêts à affronter tous les dangers par amour ? C’est en tout cas le défi que s’est lancé notre pote Dylan O’Brien et qui nous permet de découvrir un monde dévasté où les animaux & insectes mutés ont pris le pouvoir. Un état des lieux qui nous est présenté d’une manière originale en introduction et qui donne le ton de ce film entre aventure et comédie.
L’Homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot
Le titre ne peut pas laisser indifférent, associer le dictateur allemand à cette créature imaginaire relève de la pure fantaisie. L’homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot se montre plutôt passionnant dans sa première partie grâce notamment à un impeccable Sam Elliott. On accompagne cet homme dans ses souvenirs mais on partage aussi la solitude dans laquelle il est désormais plongé.
Cosmoball
Voilà un film qui part sur les chapeaux de roue. Une bataille entre le bien et le mal, la Lune détruite, la Terre en danger tout ça résumé en moins de 2 minutes. On a à peine le temps de se remettre de nos émotions que cela s’enchaîne avec une partie de Cosmoball dont on a du mal à comprendre les règles. La suite de l’histoire nous apportera davantage d’éclaircissements mais c’est vrai que pendant un bon moment on navigue à vue.










